Football : une Coupe du Monde toute propre ?

 Coupe-Du-Monde

 

Ah le football ! Le football ! Parler de football ? Ben oui, parlons-en.

Je sais au fond que parler de football, avec passion, n’a que peu à voir avec le football. C’est qu’il s’agit moins de parler du jeu, des matches, des équipes qu’on soutient que de son propre rapport au Monde, de son être-au-Monde.

Derrière la vision d’un match, il y a vous, votre être profond, vos amours portées au pinacle, vos haines rentrées ou exhalées… le tout se jouant à travers les travers de toute une société mondialisée.

Elle me disait… (6).

 Elle me disait 6

Suite du dialogue engagé depuis la Nuit des temps (ou depuis les Temps de la Nuit).

Sixième partie où ces échos ont fait une nouvelle fois… écho, écho, écho, ECHO. ECHO…

Éloignées du bavardage, plus proches du murmure, voici ces marques ramassées en un billet, voici ces remarques lancées au grand hasard de la Vie, de la Prière et de la Parole.

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Sarkozy, Lagardère, l’éditorial de Bruno Jeudy et la Une du JDD.

JDD

Souvenez-vous : nous étions peu après l’arrivée de Sarkozy au pouvoir. L’équipe de rédaction du JDD n’avait pas hésité à titrer «Sarkozy, Maître du Monde». Hé bien, voilà que Lagardère, le frère, nous remet ça avec sa compagnie de supporters sarkozystes. On citera ici l’inégalable Bruno Jeudy et le caporal aux ordres Laurent Valdiguié. Bruno Jeudy, ce journaleux qui truste les micros des radios (chez Pascale Clarke à France Inter), et monopolise les écrans des télévisions (voir photos et mon billet sur l’importance stratégique de cet Expert) nous pond un éditorial dans lequel il (nous) remet le couvert sarkozyste avec la Une de son canard-laquais («Son plan pour revenir»), suivant en cela le Figaro de Dassault qui met en titre la parole du Maître : «Il faut tout changer».

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Jours tranquilles à Paris.

Jours tranquilles à Paris & déambulations bibi.

Jours tranquilles

12 montages-photos d’«humour» politique.

Rire Twitter

Le Rire ! On trouverait à rire dans mon blog ? Je n’en suis pas si sûr. Ou alors il s’agit d’un rire crispé, d’un rire au-delà du rire rigolard. Bref, comme dirait Lautréamont, d’un « rire qui ne rit pas« . Oui, je suis toujours un peu étonné que le lecteur ou la lectrice trouvent à rire à mes compositions photographiques. 

Étonné car le rire-bibi a presque toujours partie avec la Mort (ici le rire pharaonique sur le choix du dessin), avec le Politique (je vois mal les journaleux du JDD ou du Figaro-Magazine se tenir les côtes en regardant mes planches) et avec… le Mortifère dans le Politique.

J’ai rassemblé ici quelques photo-montages déjà mis en ligne sur Twitter (pour certains d’entre eux).

Douze petits travaux dont le plus important est certainement le dernier.

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