Gros cons et Union de la Gauche.

Le billet de Frédéric Lordon est un des textes que j’ai signalés sur mon compte Twitter. En le recommandant, je ne veux pas forcément dire qu’il recueille ma pleine adhésion. Le signaler c’est d’abord dire qu’il me met au travail, qu’il m’interroge, qu’il me pousse à construire et à affiner mes pensées et mes propres représentations du Monde.

Les Jours d’Après.

Depuis que j’ai relâché la tension (l’attention) sur Nicolas-la-Fripouille et ses mesures abhorrées, il y a comme un air léger, comme une envie de picorer, de butiner, d’aller de-ci, de-là sans souci de la destination.

Et d’abord de s’en aller piocher – comme jadis – dans les livres.

Quand un blogueur de Droite découvre le mot… «Respect».

En ce lendemain de Fête, je suis allé en promenade du côté des Blogs et Bloggeurs de Droite. Non sans une intention quelque peu perverse : jouir de leur désarroi, ricaner sans entraves à leur désespoir. Et je suis tombé sur un blogueur qui – tout timide et plein d’humilité – saluait avec «respect» la Victoire de François Hollande. Mouais… mouais.

VICTOIRE ! Sarkozy, Hortefeux, Guéant & Co expulsés !

Cinq ans qu’on attendait ça ! En 2007, devant les Médias aux Ordres, notre Cow-Boy, formé à l’École de Pasqua Balladur, galopait avec cette arrogance qu’il n’a jamais quittée. Depuis le début de cette Chevauchée, il nous aura fallu en supporter des infamies, des mensonges, et des coupes dans notre Pouvoir d’achat. Crions sans retenue notre joie « mauvaise» contre ce Petit Chef et son son quatuor d’épouvante (Guéant et ses obscénités, Brice de sinistre mémoire, Morano la Grande-Gueule et Woerth l’«Honnête Homme»). Bien sur, après-demain sera une autre histoire mais BiBi savoure ce soir cette expulsion méritée et retrace pour ses précieux lecteurs la Présidentielle de ces larbins UMP en… SÉRIE NOIRE…

Hôtel Bristol ? Connais pas.

Je connais très bien Monsieur Nicolas Sarkozy. C’est un collectionneur. Un collectionneur de mensonges. Il vous soutiendrait presque qu’il était bien présent le jour où Jeanne d’Arc fut brûlée vive à Rouen ou encore qu’il était en visite dans les caves du Château de Versailles le 14 juillet 1789.