Monthly Archives: mai 2012

Let’s Twitt Again…

Seconde chronique sur mes Tweets de la semaine (version longue).

Elle me parle de mes 140 caractères sur mon compte Twitter (@pensezbibi) et de l’Humour-BiBi. 

Commence alors ce curieux dialogue…

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Les Gazouillis de BiBi.

BiBi inaugure une nouvelle page (ir)régulière.

Il y commente(ra) ses tweets, déjà déposés en 140 caractères sur son compte TWITTER.  D’une pierre, il fera ainsi deux coups : version concise sur la page Gazouillis et version longue sur son blog.

Il espère ne pas ennuyer doublement le lecteur et la lectrice internaute. Il continuera à n’avoir que ces seuls buts : faire rire aux éclats, faire sourire ou encore faire rire au milieu des larmes. As you want.

Ô vieillesse ennemie ?

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Un jour, on y arrivera : le Libéralisme triomphant votera par décret l’immortalité de chaque homme et de chaque femme. Cela fera évidemment la Une du Figaro. En attendant cette Nouvelle, j’avais décidé de regarder le Grand Prix de l’Eurovision ce samedi. J’ai tenu bon jusqu’au dixième passage. Après, désolé, je n’en pouvais plus. Apathique donc… jusqu’au moment où sont apparues les bouleversantes chanteuses russes, les Buranovskie Babushki.

Lectures à l’estomac : Artaud, Zweig, Kundera.

Dans mes lectures et relectures croisées, voila des coïncidences, des chocs et des entrechocs. Avec Patrick Coupechoux dissertant sur la folie me reviennent ces photos extraordinaires d’Antonin Artaud – dont la première qui nous dévoile un Artaud qui rit, un Artaud riant d’un rire qui ne rit pas, un Artaud riant bientôt d’un rire qui perce nos tympans et nos idées reçues. Rire poétique en somme, poétique en diable.

Jim Morrison : dix de der.

Dans un de mes premiers billets mis en ligne ici (en 2008), j’avais dit mon admiration et ma reconnaissance à Jim Morrison et à ses travaux poétiques et musicaux. Sans faire de jeux de mots, il fut un des artistes qui m’ouvrit des… Portes. Sous le titre un peu accrocheur/raccoleur («La Dernière Photographie de Jim Morrison»), je présentais mon propre rapport à ce qui fut une belle ouverture (les musiques et les textes de Morrison). Nous étions dans les années 70 et – avec les découvertes de Dylan et de Léonard Cohen (surtout) – je vivais musicalement sur un petit nuage.

HERVE MULLER, rédacteur de la revue Best (que j’achetais assez régulièrement), avait raconté sa rencontre avec le leader des Doors dans un livre que je m’étais empressé d’acheter («Jim Morrison – Au Delà des Doors» chez Albin Michel/R&F, paru en 1973). Hervé Muller m’a fait parvenir ce commentaire que je reprends ici en billet. Il y apporte ses corrections bienvenues… corrections que je fais suivre d’une réponse-BiBi.