L’œuvre de l’écrivain de Prague m’accompagne depuis si longtemps que j’ai cette manie de lire à peu près tout ce qui traîne sur sa vie et son oeuvre. Cette fois-ci, mes deux billets ne seront pas consacrés aux passages de Kafka dans…les bordels (voir plutôt pour ça mon billet d’août 2008 ).
Avec le livre de Michaël Kumpfmüller («La Splendeur de la Vie» chez Albin Michel), traduit impeccablement par l’ami Bernard Kreiss, me voilà à nouveau plongé dans l’univers kafkaïen. Kumpfmüller y évoque l’écrivain et son dernier amour, Dora Diamant.