Freud, Mann and a Woman.

femme au violon BiBi

Dans le livre (« Freud avec les écrivains », Editions Gallimard), Edmundo Gomez et Jean-Bertrand Pontalis font l’inventaire des écrivains qui ont marqué durablement le fondateur de la psychanalyse. Ouvrage fécond qui, chapitre par chapitre, fait lien entre des auteurs si divers que Shakespeare (Number One), Stefan Zweig, Romain Rolland, Jensen, Schnitzler, Schiller, Goethe, Hoffmann, Heine et… Thomas Mann avec le Maestro viennois.

Sur la Une du JDD : « Sarkozy, la traque ».

 Sarko JDD

Le JDD ne m’a pas déçu ce dimanche. Il m’offre une photo de Sarkozy au téléphone en Une pleine page avec ce titre délicieux : « La traque ». Ah l’objectivité du journal du frère Lagardère : la traque !

Poutine, un Surhomme ?

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Depuis la naissance de mon blog, j’ai toujours aimé dresser des portraits des Puissants (peu de femmes là-dedans), portraits individuels qui, avec le recul… me posent question. Je me demande en effet si je n’oublie pas d’articuler la présence de ces Hommes de Pouvoir, de ces Grands Décideurs avec le réseau contraignant qui les enferme, qui les nourrit, qui les fait «être là où ils sont». Ne ferais-je pas assez attention à cette illusion tenace qui consiste à croire à la «toute puissance des intentions individuelles» ?

Voyez cette femme à table.

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Le compte Twitter @lundiblogs nous offre, vous offre la possibilité de faire lire vos textes, d’en découvrir d’autres, de les porter vers un plus grand nombre de lecteurs, de lectrices. Je crois avoir compris la démarche et l’initiative nées d’une écrivaine franco-new-yorkaise Chris Simon. Le lundi dernier, j’avais envoyé mon lectorat vers le premier billet présenté («Le Grille-pain»). Ce lundi, une fois de plus, je ne quitte pas la… table, présentant un de mes textes écrit dans la grisaille et le soleil timide d’un après-midi dominical, «Voyez cette femme à table»… Advienne que pourra 🙂

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Incipit-Twitter (2) : « Elle me disait… »

Drap vert

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On croit souvent que le dialogue se fait à deux. L’on oublie cette instance qui fait trois : cette circulation entre l’Un et l’Autre, ce qui (se) passe entre vous et moi. Les mots sont cet entre-deux, de ces mots qui disent la nostalgie de l’homme regardant le soleil couchant, de ces mots qui disent le rire aux éclats féminins et la rage de l’enfant au seuil de son état d’adulte.

Ici, dans cet Incipit-Twitter (« Elle me disait… »), sont venus s’inscrire l’éclair, le grondement des Dieux derrière les nuages, la pluie qui fouette nos visages. Tweets en méli-mélodrames pour un second et dernier épisode qui – je l’espère – feront éclaircies.

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