De tout temps, j’ai eu l’envie d’écrire des Nouvelles, de les faire courtes, riches de détails, percutantes sur le final. J’ai déjà une infinité d’idées et de compositions à ma disposition, un bon lot d’ébauches romanesques et de récits embryonnaires, inachevés.
Penché toute la nuit dernière sur le bureau qui m’apparut soudainement étrange, inhospitalier, je suis resté planté là à vouloir composer un très court récit, une brève, une petite, une toute petite fable.
Juste, ai-je pensé, juste pour m’échauffer mais rien, rien, rien n’était venu.