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Quatre contributions à la vie politique de notre pays.

Paysans

En vrac : un souvenir de l’époque Jospin, le vieux camarade socialiste, qui conduisit la politique du PS droit dans le mur un certain 21 avril 2002 (onze années où l’on vit disparaître l’ex-militant trotskyste avant que Manuel et François ne mènent la Vallse), un bel uppercut de Sébastien Fontenelle et une réflexion philosophique sur les illusions des Elites. Avant que l’ami Jean-Bertrand Pontalis, hélas disparu, ne vienne clore le débat de belle façon.

Retour sur six lectures estivales.

Dessin Lectures estivales

L’été est propice à la lecture. Le soleil apporte ses lumières… de même que l’intelligence des femmes (celle de Mona Chollet), de même que les expériences de vie de Patti Smith, de même que la délicate profondeur de vue de Jean-Bertrand Pontalis (récemment disparu), de même que les réflexions de Serge Tisseron (qui n’emportent pas forcément tous les suffrages)… Voilà quelques extraits tirés de leurs travaux sur lesquels il conviendra (peut-être) de méditer… l’automne et l’hiver venus  🙂

Merci à Jean-Bertrand Pontalis.

JB Pontalis

La mort de Jean-Bertrand Pontalis dans la nuit du 14-15 janvier m’a plongé dans une grande tristesse. Avec son recueil d’articles parus en Idées NRF («Après Freud»), ce psy pas comme les autres m’ouvrit des pans entiers vers l’Inconnu, me poussa dans des territoires inexplorés. J’ai toujours aimé sa clarté d’exposition, les bruissements de son écriture et sa position très singulière dans le champ psychanalyste, à l’écart de tout dogmatisme d’école. Il fut un passeur incomparable.

Valérie Trierweiler et les autres.

Le tweet de Valérie Trierweiler est venu croiser ma lecture du moment : «Elles» de Jean-Bertrand Pontalis. Hasard objectif : en post-scriptum, je mets en ligne un de mes gazouillis qui répondait à une interrogation-Twitter de Bernard Pivot sur le Réseau Social.

Un gazouillis-offrande à… B., ma première Lectrice.

Les Flèches de Cœur de BiBi.

Jean-Louis MURAT.

Le chanteur refuse systématiquement de participer à des opérations caritatives comme les Enfoirés.

«Je trouve ce système dégoûtant. Les jolis cœurs, les plus-généreux-que-moi-tu-meurs, je n’y crois pas du tout. Tous ces artistes sont des monstres d’égoïsme. La vraie générosité, elle est silencieuse. Tu fais, mais tu fermes ta gueule. Ça ne doit pas devenir un élément de promotion.» Puis plus loin : «L’idéologie chez les artistes, c’est une funeste blague. Ce qu’ils portent vraiment, c’est dans leurs chansons et leur comportement ? Qu’est-ce que c’est que ces petits chanteurs de variétés qui font des trucs à la con de trois minutes avant de disparaître, et qui d’un seul coup ont des consciences de Prix Nobel de la paix? Ça n’est pas sérieux». Ben, si, c’est sérieux, très sérieux, Jean-Louis : ça fait tourner les Machines, celles du Bizness, celles des Médias, les rotatives des  journaux, les moteurs des télés. Et même dernièrement les roues de vélos de certains Blogueurs.