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« Un sentiment de rage indignée».

Pas d’aujourd’hui que je conseille de lire les travaux du sociologue Alain Accardo. Ce dernier, au long parcours de chercheur en sciences sociales, a été un moteur de mes reflexions dans le capharnaüm de ce Monde. Ses analyses ont été des points de repères essentiels lorsque l’épais brouillard de l’idéologie libérale m’enveloppait à mon corps défendant.

Ma Revue de blogs.

Blog LA REVUE

Les blogs restent une lecture indispensable. Voix de découvertes. Voies de nouveauté. Certes, je n’y rencontre pas que des pépites. Dans le tamis de mes recherches et de mes visites sur ma BlogRoll, il y a du très bon, du bon, du moins bon. Dans le patchwork parcouru cette dernière semaine, c’est le burkini et ses discours, c’est l’ignoble Sarkozy etc qui sont en Unes.

Dans les humeurs de blogueurs et blogueuses, on oscille entre la férocité de combattre, la clarté dans les analyses et le désenchantement. Bonne lecture à vous, fidèles lecteurs, irremplaçables lectrices.

C’est nous qu’on va gagner ?

 On ne lâche rien

J’entends qu’«On ne lâche rien», j’entends que «Notre heure viendra, on ne sait pas quand mais elle viendra». Je lis les tweets du futur Bonheur révolutionnaire qui s’avance, inéluctable. Toujours cet étonnement-bibi devant les cris des camarades enthousiastes.

Album-Photo 4 : Philosopher en nuances et en nuages.

 ECHECS 2

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Il y a de lointaines années, je m’étais désaltéré au biberon althussérien. J’étais tombé sur « Positions », un recueil d’articles du philosophe. Un livre dans lequel j’appris qu’il pouvait exister un lien fort, fécond, à construire entre les deux grand-pères que furent Freud et Marx. Reprenant le bouquin, j’ai retenu un autre passage :

«La philosophie, jusque dans ses longs travaux théoriques les plus abstraits, les plus difficiles, se bat en même temps sur des mots : contre les mots-mensonges, contre les mots-équivoques ; pour les mots justes. Elle se bat sur des «nuances».

Les Jours d’Après.

Depuis que j’ai relâché la tension (l’attention) sur Nicolas-la-Fripouille et ses mesures abhorrées, il y a comme un air léger, comme une envie de picorer, de butiner, d’aller de-ci, de-là sans souci de la destination.

Et d’abord de s’en aller piocher – comme jadis – dans les livres.