Yearly Archives: 2010

Les seins de l’Arlésienne.

Le bourdon de Cuicui

BiBi s’étonnait que son buzz ait eu lieu sur le décolleté de Valérie Hortefeux, maugréant sur l’ingratitude de ses lecteurs-internautes qui se précipitaient beaucoup plus sur la femme du Ministre et moins, beaucoup moins sur ses articles plus directement politiques.

«Tu sais BiBi, lâchait Cuicui, c’est lors de ces pics d’audience qu’on s’aperçoit qu’on est bien peu de chose…Tous les billets où j’ai cartonné sont des billets qui ne m’enchantaient pas. Tous les textes dont j’étais un peu fier n’ont jamais été particulièrement lus… C’est la rançon des blogs, je crois… Parfois, cette observation me fout le bourdon…».

Ben oui, le Net n’obéit ni à nos désirs d’enfant-Roi ni à nos travaux sérieux d’envergure. Du sens de la Vie (sur le Net, ailleurs), personne n’en décide complètement et c’est heureux. Pour BiBi, être «bien peu de chose» est un chemin très excitant, revendiqué même car il s’agit une fois encore de faire ce qu’on a à faire sans trop s’occuper de la tyrannie du Lecteur et de ses choix. BiBi fait 50% du chemin. Aux lecteurs de faire le reste. C’est alors que la Vie dans ses inattendus, dans ses surprises, décide et décidera, distille et distillera sa magie.

Paradoxe.

Suite à l’article de Thierry Crouzet concernant l’utilité du Hit-Parade Wikio, BiBi est allé voir de quel bois il se chauffait dans cette forêt aléatoire, dans ces futaies dans lesquelles beaucoup d’Internautes se perdent avec délices. Il y a relevé son classement mensuel en Multithématique : 78 ième. Il y aurait une perte sèche de 15 places par rapport au mois précédent. Au général, le recul est de 7 places ( 498 à 505). Curieux lorsque BiBi met en parallèle son audience grandissant de +162% par rapport au même mois précédent. Des 10.628 visiteurs du seul mois de septembre, BiBi en a compté plus de 28.000 pour ce seul mois de novembre, passant de 350 visiteurs par jour à… 916. Merci, merci à vous tous.

Désespoir momentané.

Se penchant sur Libération, BiBi constata en se regardant plus bas que son nombril que seuls les billets de Pierre Marcelle le faisaient bander : «La Gauche officielle, taiseuse, regarde les peuples défiler contre les Marchés qui les saignent. De son trottoir ou de son pré carré, elle les regarde passer à Londres, à Dublin, à Lisbonne et à Madrid comme elle regardait passer à Paris les manifestations contre la Réforme des retraites».Allez, allez ! Chauffe, chauffe Marcelle !

Petit Baro(i)n.

Voilà comment le petit Baroin répond aux questions : il botte en touche – avec l’approbation du journaleux – sans se préoccuper du ridicule.

Le Figaro : «Dominique de Villepin pourrait-il gêner la réélection de Nicolas Sarkozy» ?

François Baroin : «A l’évidence, Dominique de Villepin n’a pas fait le choix, comme Alain Juppé ou moi, de s’engager très tôt aux côtés de Nicolas Sarkozy».

Un peu comme si vous demandiez l’âge de BiBi et qu’il vous répondait : «J’ai 21 maisons».

Les seins de l’Arlésienne.

Il est probable qu’en titrant son article ainsi, BiBi fera son second Buzz de l’Année, attirant à lui les voyeurs, les excités, les curieux du Q, les amateurs de jolies formes, les érotomanes, les maniaques du soutien-gorge, les Prêtres de Provence et bien sûr, tous ses fidèles 🙂 . Pas de chance pour vous tous : les seins de l’Arlésienne, personne (BiBi y compris) ne les a vus ou admirés. (Le modèle du cliché n’est pas du tout… arlésien mais remarquez tout de même que BiBi met les pointes sur les I ).

Mais, consolons-nous : ne dit-on pas avec justesse que le Plaisir est dans l’attente ?

Le « gros boudin noir  » du RPR et de l’UMP.

1. Un jour, alors qu’on interrogeait Jacques Chirac sur les recettes injustifiées des comptes de l’une de ses campagnes, voilà ce que l’ex-Président a répondu :

«Savez-vous que les militants du RPR ont une imagination débordante et que, à la fin de chaque meeting, ils font circuler une sorte de gros boudin noir dans lequel chacun verse son obole et cela fait des sommes extraordinaires». Magnifique, non ? BiBi rajoute cette question : «Et pour ton compte japonais, ChiChi, les militants vendaient des sushis à l’oseille ?»

2. Le juge Trévidic vient de faire connaissance de la Société luxembourgeoise Heine, société écran qui aurait fait transiter les commissions (76 millions d’euros) entre 1994 et 2004. La création avait été validée par Nicolas Sarkozy et Nicolas Bazire. Ce dernier, directeur général du Groupe Arnault, travaille avec Bernadette Chirac. BiBi est persuadé qu’au menu de la cantine LVMH, il leur est quasi-quotidiennement servi  un succulent gros boudin noir.

3. A propos de LVMH, BiBi a écouté très sérieusement Hubert Védrine sur France-Inter (invité sur la Matinale de Patrice Cohen). Notre Hubert est ce socialiste qui fut prêt à accepter l’offre de Nicolas (Sarkozy) d’être Ministre d’ouverture. Sur les Ondes de Val et de Hees, le bonhomme s’est offusqué de la transparence dans le Politique, la ravalant au niveau d’effets d’États totalitaires. C’est vrai que question Silences pudiques, notre Homme de l’Ombre est bien placé. BiBi respectera donc son désir d’opacité : il ne rappellera pas qu’il était un des invités du mariage de Delphine Arnault et d’Alessandro Gancia au Château d’Yquem, qu’il n’a rien à voir avec les manœuvres de Monsieur Arnault sur Gucci, Hermès, Dior, Kenzo etc. Pour un peu, le bon Védrine nous persuaderait qu’il n’est qu’un cuisinier de cantine et qu’il est passé maître dans l’art de cuisiner le gros boudin noir, sa spécialité.

4. Frédéric Lefebvre a été nommé Secrétaire d’Etat au Commerce, à l’Artisanat, aux PME, au Tourisme, aux Services, aux Professions libérales et à la Consommation. Notre professionnel du lobbying qui travailla jadis pour Dominique Desseigne lorsqu’il était chez Domaines Publics pourra aider les traiteurs, charcutiers et bouchers. C’est évidemment là qu’on trouve les meilleurs et les plus gros boudins noirs. De quoi, cher Frédéric, alimenter les caisses de l’UMP pour 2012.

L’insupportable Roland Dumas, socialiste.

Il y a, comme ça, des têtes qui ne reviennent pas à BiBi. Pourtant, BiBi met un point d’honneur à éviter de s’en tenir à une animosité épidermique, à voir sur la seule silhouette la confirmation des méfaits et erreurs de la personne ciblée. Mais faut dire que ce Roland Dumas aux grands airs, à la maitrise de langue parfaite, ce Roland Dumas en habit d’avocat (alors qu’avant appel et relaxe, il fut condamné à 30 mois d’emprisonnement dans l’affaire Elf) a quelque chose d’insupportable.

En cherchant dans la biographie de cet ex-ministre mitterrandien, BiBi s’est aperçu des innombrables zig-zags du bonhomme. Par exemple, BiBi découvre les liens entre le Front national et Roland Dumas . Celui-ci a été vu par le Monde «tout près» de Jany Le Pen au spectacle de Dieudonné le 18 décembre 2006 au Zénith de Paris, puis a été remarqué par l’Express en compagnie du président du FN à un cocktail dînatoire offert le 14 octobre 2008 à la résidence de l’ambassadeur d’Iran à Paris.

Un coup à l’extrême-droite, un coup à «gauche» : parfait parcours d’indignité et de veulerie de ces hommes de «gauche» qui soignent leur trajet politique en maquillages et en trompe-l’œil. Avec Mitterrand évidemment comme modèle.

En mars 95, Roland Dumas succède à Robert Badinter à la tête du Conseil constitutionnel. En octobre de la même année, les rapporteurs proposent le rejet des comptes de Balladur mais notre Roland – au nom certainement de la Démocratie – déplace le problème sur Chirac et renvoie les rapporteurs à leurs chères études. Ceux-ci reviennent mais en «oubliant» «la provenance incertaine de 10,25 millions de francs du cher Edouard» (Le Monde du 26 novembre). Tout ce petit monde unanime entérine les comptes de Chirac et de Balladur qui – après judicieux calculs – se situent dès lors au plafond autorisé.

Mais il y a le vote. A gauche, on trouve : Noëlle Lenoir, Georges Abadie, Jacques Robert, Maurice Faure. Ils rechigneront en votant contre. A droite, Etienne Dailly, René Monory, Jean Cabannes, Marcel Rudloff bêleront avec les troupeaux chiraquiens et balladuriens.

Reste Roland Dumas, le grand avocat, l’ex-Ministre mitterrandien, encarté au Parti Socialiste, cité dans le plus gros scandale de la Vième République (l’Affaire Elf) pour départager tout ce beau Monde. Bien entendu, notre lascar va se coucher : sa voix décisive fera basculer la majorité en faveur de l’adoption des comptes. Aujourd’hui, toujours aussi arrogant et insupportable, il ne se dédit même pas, il persiste et signe.

Morale de l’Histoire : des Roland Dumas, dans les années à venir, il y en aura bien d’autres.

Sous Strauss-Kahn.

Comme sous Aubry.

Mais BiBi a bien aimé rappeler qu’à droite comme à «gauche», les poubelles de la République sont toujours joliment garnies.

800 articles et un Buzz.

C’est par hasard que BiBi s’arrêta sur le nombre de ses articles mis en ligne depuis la création de son blog (avril 2008). Sept cent quatre vingt dix neuf billets. Il se demanda quel sujet allait s’imposer à lui pour le huit centième. Il y avait bien Luis Fernandez et Line Renaud invités chez Drucker ce dimanche (mais 2 tweets sur Twitter suffiront) ou encore le sinistre éditorial d’Olivier Jay en Une du JDD. Ce laquais de Lagardère nous sommait de faire «des sacrifices légitimes» pour sortir de la Crise. Heureusement Sébastien Fontenelle (de Politis) avait – cette fois-ci – devancé BiBi pour plumer notre Jay.

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Alors sur quoi BiBi allait s’allonger ? Sur la douceur et les rondeurs de Boto-Boto pour oublier ses désespoirs momentanés ? Se gâcher le dimanche en furetant dans les propos abracandabrantesques de Balladur qui n’a rien-vu-rien-entendu et qui ne sait pas que Karachi est la Capitale de la France d’En-bas ? BiBi décida alors de parler de Booba, le chanteur de rap, entraperçu chez Virgin, le 22 novembre, en ce lundi parisien.

BooBa (1)

Booba, qualifié de «rappeur nouvelle génération, ébloui par l’Amérique», raconte ce que doit être le bonheur. Il le dit dans une interview hargneuse à «Métro» (22 novembre) : «Quand je vois Diam’s qui a vendu un million d’albums et qui n’est même pas capable de faire un morceau où elle dit qu’elle est heureuse, je trouve ça insultant. C’est de l’hypocrisie».

Insultant ? Se fabriquer des ennemi(e)s et chercher ainsi un profit de distinction est une stratégie éculée et très conformiste de Marketing. Booba ne veut surtout pas qu’on ne le confonde pas avec Diam’s, Pokora, ou Sinik, tous des «hontes négros». Et s’il n’en reste qu’Un dans le champ du Rap, Booba aimerait bien être évidemment celui-là. Vanité infantile d’être le «Number One» et refus de partage… (BiBi soupire : « Même là…!»).

BooBa et BiBi (2).

Sur Booba, BiBi n’en restera pas là. Il ira lire les flashes laudateurs sur le site de Slate, (jolie instance de consécration comme chacun sait) et il s’appuiera la lecture dominicale de la quasi-totalité des textes du rappeur. Suggestion faite à  Booba : intituler son prochain tube «BiBi, Bop & Booba» sur un sixième album. Voilà qui réconcilierait BiBi – plutôt R&R et R&B – avec le rappeur qui n’en finit pas d’être «ébloui par l’Amérique».

Le Buzz de BiBi.

Il eut lieu le jour où Guy Birenbaum mit en ligne sa petite vidéo sur son blog (en images : le défilé de mode élyséen avec Valérie Hortefeux en Princesse). BiBi avec son vieil article («Valérie Hortefeux est un phénomène») connut son premier Buzz d’envergure : 3890 visites pour la seule journée du 9 novembre. Tout cela aurait pu le rendre joyeux, le pousser à une indéfinissable extase mais non, pas vraiment. D’où vient alors que BiBi fut – à moitié – satisfait et – aux trois-quart – ronchon ?

BiBi a écrit 799 articles. A leur relecture, certains sont bien futiles. BiBi – un poil vaniteux –  dit pour se défendre que «Zidane, lui aussi, ratait parfois ses matches». Avec ce pic d’Audience, le lectorat s’était déplacé non sur un de ses articles dont il est le plus fier (par exemple le billet sur Brice Hortefeux, hélas beaucoup beaucoup moins lu) mais sur un billet qui s’amusait du… décolleté de Valérie Hortefeux. Léger vertige de BiBi : il suffit ainsi de parler de cette insignifiante femme de ministre, poupée élyséenne à l’occasion, pour faire un admirable et incroyable Buzz ?

BiBi sait bien que la dimension people fait partie de ces Temps (pi)politiques mais le voilà un peu atterré, un peu hagard devant ce Buzz qui signe au fond la dégradation maximale du Politique jusque sur ses terres.

Réponse magique.

En ultime défense contre cette angoisse dominicale, en lieu et place du Buzz, BiBi choisit finalement le meilleur :  les 800 Bizz de Boto-Boto.

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PS : La photo est d’André Kertesz dont les images noir et blanc sont exposées magnifiquement au Musée du Jeu de Paume à Paris. On reconnaîtra BiBi sur le cliché tirant ses Flèches de jeunesse.

Sarkozy : nouveaux amis, anciennes connaissances.

Le Complexe Chouchou.

On connaît le complexe d’infériorité de Sarko devant les intellectuels appartenant à la faune culturelle française. Difficile pour lui de parler musique avec Carla Bruni Sarkozy, les noms de Mick Jagger et d’Eric Clapton reviennent sur le devant de la scène. Plus difficile encore pour lui d’évoquer le cinéma, voilà les deux playboys de Vincent Perez et de Charles Berling qui se mettent aussitôt en travers; de philosophie (ce sont les deux Enthoven qui accourent) ou encore de « journalisme » (ce sont Denis Olivennes du Nouvel Obs ou Anne Fulda du Figaro qui viennent en Une).

Les Grosses Têtes.

Alors, pour impressionner Carlita et son petit monde, pour gagner quelques bobos à sa cause, notre Président essaye de draguer à la table. Il y invite les grands artistes de notre temps. Ainsi a t-il dîné avec Michel Houellebecq et Yann Moix, le grand rebelle du Figaro. En fin de repas, il a demandé à son vieil ami Alain Carignon de soumettre une invitation à Patrick Besson et à Fabrice Luchini pour la prochaine fois. Il est hélas tout à fait possible que Luchini (que BiBi aime bien) donne son accord et vienne réciter du Sarko-dans-le-texte sur scène (Au Fouquet’s ?). Après tout, Fabrice récite bien du Philippe Murray.

Il paraitrait même qu’au cours de ce même repas, notre cher Président aurait soufflé à Denisot d’accélérer l’apparition de la marionnette de Houellebecq aux Guignols. L’apport de notre Chouchou à la Grande Culture est sans prix.

Revoila la Bande à Carignon.

Ne nous étonnons pas de voir réapparaitre dans les coulisses du Pouvoir l’ami grenoblois Alain Carignon. Sarkozy bat en effet le rappel de tous les Gentlemen du Balladurisme. Ainsi a t-il nommé le 10 novembre dernier, préfet de l’Indre, le dénommé Xavier Peneau, ex-homme-clé de Carignon. Ce préfet compte un nombre impressionnant de casseroles (on peut les entendre dans le Canard Enchaîné de cette semaine) mais il a une breloque qui fait pâlir petits et grands de ce Monde : le 31 décembre 2009, ce Monsieur a reçu la Légion d’Honneur. BiBi n’a pas su des mains de qui : d’Eric Woerth ou de Chouchou lui-même ?

Balladur d’oreille.

Pour ceux qui croient que Chouchou avec son Mentor Balladur, c’est de l’Histoire ancienne, eh bien, c’est auprès de ce même Edouard que le petit Nicolas s’est prosterné avant le remaniement ministériel. Balladur à dit « Non à Borloo». Aussitôt dit, aussitôt fait.

Deux chamoniards.

Attention, BiBi n’a pas écrit « Charognards » mais force est de constater qu’Eric Woerth (avec Flo) et Edouard Balladur ont, chacun, une résidence à Chamonix. Chamonix… vous savez, c’est ce petit village tout à côté de la Suisse. Le Mentor de Chouchou et le Menteur de Chantilly sont capables de dire au juge Van Ruymbeke qu’ils ne s’y sont jamais croisés : ni à la Patinoire, ni à la Piscine, ni à la MJC mais peut-être – vaguement – au guichet de la BNP.

Où sont passés François Léotard et Renaud Donnedieu de Vabres ?

Au sujet de l’Affaire Karachi, BiBi, simple citoyen, s’étonne que les Journaleux (par exemple le délicieux Aphatie) n’invitent pas François Léotard au micro de RTL ou au Grand Journal de Canal Plus. Peut-être faut-il leur rappeler que le frère de François, le génial Philippe du même nom, est décédé depuis longtemps et que, donc, la confusion est impossible ?

Quant à Renaud Donnedieu de Vabres, il intégra début 95 l’équipe balladurienne. Neuf ans plus tard, il sera condamné (février 2004) pour blanchiment d’argent (selon Wikipédia). Si les journaleux veulent l’interviewer, ils le trouveront à New York au siège de LVMH, assis entre Hubert Védrine et Madame Chirac. Renaud sera facile à reconnaître : c’est celui qui boit une coupe de Champagne ( Champagne ramené de Reims où il passa un temps comme élu avant de se sauver).

Longuet : le cocu magnifique.

« Tu sais que j’ai envie de te casser la gueule ?« . C’est ainsi qu’est entré en furie Gérard Longuet,  l’ami de Chouchou, grand cocu du remaniement (voir article-BiBi) dans le bureau présidentiel. Ils sont peu nombreux ceux qui peuvent se permettre de dire de telles choses au Monarque même si amis et ennemis le pensent tout bas tous les jours. Ce n’est pas le cas de BiBi : BiBi, lui, ne tutoie pas le Président.

Jacques Martin.

Il n’y a pas que sur l’Affaire Karachi que notre Président se montre très « susceptible » (selon le qualificatif de Magali Drouet, interviewée par Thierry Ardisson ce samedi 27 novembre sur C+). Il risque de l’être encore plus en regardant le magazine de Laurent  Delahousse (« Un jour, un destin« ). Le présentateur de France 2 prépare un numéro spécial en hommage à Jacques Martin disparu en 2007. Un jour, le destin de l’Animateur de l’École des Fans s’en est trouvé changé lorsqu’il apprit qu’une certaine Cécilia allait le quitter pour le Maire de Neuilly. Laurent Delahousse racontera sûrement l’épisode musclé qui en résulta et nous dira qui sortit vainqueur de cette mise au poing.