John Lennon pas mort.

John Lennon, le mémorial à Central Park, l’immeuble du Désastre.

A Central Park, BiBi aurait bien aimé qu’on lui foute la Paix avec John Lennon, défenseur «anti-conformiste» des valeurs pacifiques et autres fadaises. Tout ce mythe est alimenté par la triste artiste-peintre, Yoko Ono. Sur une des allées de Central Park, un admirateur vétéran rescapé de la Beatlemania, raconte la triste fin du chanteur devant une étoile en mosaïque. Un autre fan photographie la porte de l’immeuble où tout s’est terminé. BiBi, lui aussi, fait la même chose et arme son appareil en suiveur zélé. Pourtant, il avait lu une bio non autorisée du chanteur dans laquelle Papa Lennon avait été décrit comme une personne bien peu recommandable. Le génial compositeur des Beatles avait été odieux tout au long de l’enfance de son fils Julian Lennon, le «généreux» chanteur se bourrait à l’héroïne, du Japon aux Indes et de NYC à Los Angeles et avait été toujours insupportable avec ses admirateurs.

Qu’on honore ses chansons, d’accord, qu’on loue sa subtilité dans sa collaboration avec Paul Mac Cartney, encore d’accord, mais sur les à-côtés, de grâce, Paix à son âme et… à la nôtre.

One Response to John Lennon pas mort.

  1. Riffraff dit :

    John Lennon est un peu le père de tous ces artistes qui s’achètent une virginité à travers leur belles chansons, leurs beaux films, leurs beaux sourires et leurs belles actions humanitaires.

    Parlons de Bono… pote de Sarko, accro à la coke, passant ces vacances sur des yachts d’amis très (trop?) fortunés et dans le même temps donneur de leçon sur la pauvreté dans le monde et la famine. (Sunday bloody sunday qu’il chantait, aujourd’hui, c’est plutôt Sunday richy sunday)

    Parlons de George Clooney, Brad Pitt et Di Caprio qui pleurent une terre laisser à l’abandon et qui n’hésite pas à faire de l’autopromo pour leur film en jet privé. (C’est bien connu, un jet privé flotte dans l’air tout seul…)

    Parlons de Pamela Anderson, fervente protectrice des animaux et là aussi, ne roulant qu’en Limousine et adorant son jet.

    Parlons de Carla Bruni, épouse d’un capitaliste pur et dur (tant mieux pour lui). Protectrice de la terre, des enfants, des animaux, de la voix lactée, du soleil, de mars, de vénus, de Jupiter… Quelle déesse cette Carla.

    Je n’ai rien contre les artistes qui font leur beurre, au moins, avec eux, on sait d’où vient le lait.

    Mais ce qui m’agace le plus… C’est les donneurs de leçon. C’est tellement simple de s’acheter une conscience quand on a… les moyens.

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