Les Flèches de BiBi (3 /10 mai).

Jusqu’à quand les Supporter ?

Sept groupes de supporters de Ligue 1 ont été dissous par Brice Hortefeux et Fillon. On avance toujours l’argument de la « pacification » de stades anglais. Mais on oublie de dire à quel prix : augmentation du prix des places qui écarte le Populo et surtout recrudescence de la violence en dehors des stades et vers les divisions inférieures. Cette radicalisation puérile n’est qu’un vain effet d’annonce. Hortefeux, Fillon, Claude Goasguen feraient mieux de se pencher sur un problème beaucoup plus grave : la dissolution progressive des Supporters UMP.

Jean-Claude Decaux vous a à l’œil.

Dans 3 stations de métro parisiennes ( Ch.De Gaulle-Etoile, la Motte-Picquet, Porte Maillot)  la RATP et la Régie publicitaire MétroBus ont installé des écrans « espions ». A l’intérieur de leurs panneaux numériques, on y a installé des capteurs capables de «mesurer le nombre de personnes qui les regardent et de détecter les zones où s’attarde le regard» (Le Monde du 30 avril). Un envoi automatique de messages de pub est envoyé alors sur les mobiles des passants. MétroBus est une filiale de Publicis (Madame Elisabeth Badinter vous regarde et vous tient en garde) et de Jean-Claude Decaux. Sacré Jean-Claude : la nuit du Fouquet’s, on pouvait capter son regard admiratif et le compter numériquement parmi les invités de son Maître. Aujourd’hui, Decaux fait toujours partie de la Déco-Sarko.

Valérie Hortefeux, la fidèle.

L’épouse de Brice est fidèle, très fidèle… aux Palaces du Groupe Barrière, le Ryad Naoura de la Médina de Marrakech par exemple qu’elle inaugura en grande pompe en mars 2009 (voir article-BiBi). Fidèle au luxe de Dominique Desseigne (autre invité de la Nuit du Fouquet’s), Madame Valérie a attendu son bonhomme venu enfin la rejoindre mercredi et jeudi derniers. Valérie n’a pas compté les membres auvergnats du petit personnel du Palace marocain. Peut-être s’est-elle tout juste plainte du Service en ces termes : « Ce n’est pas quand il y en a plusieurs que ça ne va pas, c’est quand on a besoin d’eux et qu’on n’en trouve pas un seul » ?

Savoie de son Maître.

Notre Président est venu célébrer la Savoie qui, par le plébiscite du 22 avril 1860, obtint d’être rattachée à la France. Les résultats ne firent aucun doute mais on ne souligne pas assez que le scrutin ne touchait que les seuls hommes ayant atteint la majorité, hommes qui payaient un impôt. C’était toujours un suffrage censitaire malgré la nouveauté du scrutin. Les femmes ?  Euh ben… les femmes savoyardes n’existaient pas à l’époque.

Cher Dominique.

Le 20 mars 2006, Bernard Accoyer disait : «Il ne saurait être question de ne pas appliquer le CPE» et Jean-François Copé lâchait : «La France de Droite nous dit tenez bon». De son côté, le Premier Ministre d’alors déclarait : «Rester les bras croisés ? Non, il y a urgence. Il faut relever le défi du CPE». On sait comment les jeunes et leurs parents dans la rue firent reculer le Pouvoir et abroger ce texte félon. Dans le Monde (samedi 24 avril), voilà que BiBi tombe sur les propos actuels de cet ex-Premier Ministre : «On ne peut jusqu’au bout jouer aux aveugles, mépriser les Français et contredire la Réalité». Sacré Dominique (De Villepin) ! Il a oublié qu’il avait été, en ce temps-là, aveugle et méprisant et qu’il avait contredit allègrement la Réalité.

Le regretté Juan Antonio.

« M. Samaranch est celui qui a favorisé la montée en puissance de l’olympisme en l’ouvrant à tous les sportifs et à tous les pays» a déclaré notre Chouchou à la mort de l’ex-Président du CIO. Notre Chouchou oublia que ce sinistre personnage fut un tel admirateur de Franco que le Dictateur le nomma délégué national de l’Education physique et des Sports dans son gouvernement. Pas de voix discordantes. Jacques Rogge parla de «la détresse de la famille olympique» ; Sepp Blatter de «son extraordinaire personnalité »etc. Pendant ce temps, les amis franquistes toujours là font sportivement la guerre au Juge Baltazar Garzon.

Anne Fulda.

Pas embarrassée, l’ancien flirt de Chouchou lui fait de « petits signes » (Chronique du Figaro du 15 avril). Son ex-Chouchou a « de la grandeur et de la douleur, de l’abnégation». Il semble avoir enfin «compris la France et sa fonction présidentielle». La journaleuse nous parle de l’«exemplarité» de son ex, de son «Don de soi à la France». Mais elle tempère : «Evidemment, ce sont des mots qui ne guériront pas tous les maux mais il fallait les prononcer». BiBi osera t-il sa conclusion ? Il ose et plagie : «Bien évidemment les mots d’Anne Fulda ne guériront pas les maux de BiBi. Mais aurait-il fallu seulement les écrire ?»

Flèche de cœur.

Valérie Tröndle tient un blog plein de vie et de fureur. « Au Nom du Père » est son premier petit livre aux Editions Gaspard Nocturne. Itinéraire mi-joyeux, mi-mélancolique sur son enfance en tournée de ramonage (avec son père), sur sa vie de femme, de mère de jumelles et de funambule sur la corde raide de la Vie. Laissez tomber la mielleuse Anna Gavalda et venez accompagner Valérie au plus vif de ses pages.

24 Responses to Les Flèches de BiBi (3 /10 mai).

  1. Philipina dit :

    « Peut-être s’est-elle tout juste plaintE », s’il vous plaît.
    Sinon tout bon.

  2. Zgur dit :

    Dominique de Villepin a peut-être appris de ses erreurs passées.

    Mwahahahhahahahahhahahahahahahahaha !

    Zgur

  3. Je sais, je ne devrais pas, mais Anna Fulda a un nom de suppositoire. Du moins à mes oreilles, qui ne sont pas chastes pourtant.
    Concernant vos flèches, Bibi, elles sont toujours aussi… heu, pénétrantes (je peux?) quand il s’agit de mettre en exergue les mouvements chaloupés des croupions de ces gens-là (comme disait Brel). Continuez, surtout!
    Quant à Valérie, je vais de ce pas jeter un œil sur son parcours d’enfance dans le… hum, « ramonage ». Décidément…

  4. des flèches toujours aussi affutées contre cette oligarchie qui nous gouverne…

  5. luc dit :

    même en admettant que les femmes savoyardes n’existaient pas en avril 1860 cela n’excuse pas, ce qu’a fait le ouebmaster de l’Elysée. Il a supprimé dans la transcription le passage le plus émouvant du discours présidentiel ; celui où, dérogeant à une position de sa part constante, notre bien-aimé président avait fait de l’humour :

    – J’aurais voulu être Savoyard. Je me suis un peu rattrappé en épousant une Savoyarde de l’autre côté.

    (j’ai bien entendu alerté Qui de droit, de cet acte de sabotage, et ne manquerai pas d’informer Bibi de l’éventuelle réponse reçue)

  6. Wam dit :

    Bonjour,

    Pour le « Jusqu’à quand les Supporter ? », c’est assez incroyable a quel point c’est mot pour mot ce qu’a dit Zemmour il y a quelques mois sur France O.

    BiBi se Zemmourifie ?

  7. BiBi dit :

    Cher Wam,
    Il ne vous est jamais venu à l’esprit que c’est… Zemmour qui copie BiBi ?
    Mais BiBi vous livre un scoop : dès demain, il remplace Zemmour au Figaro.

  8. valerie dit :

    J’ai regardé un morceau seulement des échanges entre Zemmour et Onfray dernièrement sur?
    « C’est dans l’air », je crois. -C’est vrai qu’on se rappelle plus aisément les nom de famille, Bibi! Et Eric et Michel, on ne sait pas qui c’est! (en rapport avec mon com sur « Gavalda » puisque je t’ai dit qu’elle avait un prénom. C’était stupide de ma part!-
    Donc, un morceau(pas pu faire autrement) et j’ai bizarrement trouvé Eric Zemmour , comment dire, plus attentif peut-être, plus posé, moins centré sur ses propres idées, n’aurait-il pas un peu peur des philosophes ou est-ce du respect?

    Et Michel Onfray m’a donné envie de lire son livre.

    Que pourrais-je dire moi, mièvrement, de la psychanalyse alors que j’ai débuté deux analyses?

    -Que la première m’a été, dans ma situation personnelle, indispensable
    Dans ma tête, rien d ‘autre ne pouvait me sauver de mes instincts suicidaires et j’aurais été incapable de prendre le chemin d’une introspection seule, or, cela m’était vital pour aller mieux.

    Ce qui ne veut pas dire qu’elle soit indispensable pour tous.
    Il yen a qui seront « sauvés » par une rencontre, en se mettant au tennis, à l’alpinisme à l’écriture…

    Qu’elle soit un peu beaucoup réservée aux nantis, je le pensais aussi. Si mes parents n’avaient pas payé les séances 400 fr, je crois, à l’époque, je n’aurai jamais pu me procurer cet argent. J’étais incapable de travailler à ce moment de ma vie.

    Maintenant, il existe des psychanalystes-psychiatres et c’est remboursé par la Sécu. mais je doute qu’un pauvre puisse se permettre une analyse et il y a des gens qui ne pourront pas parce que ça ne leur parle pas.

    Ce qui me gêne, ce sont les généralités dans un sens comme dans l’autre.
    La psychanalyste ne sert à rien!
    Il n’y a rien de mieux que la psychanalyse!

    La psychanalyse a sauvé des gens et m’a sauvée moi. Après, je suis sceptique par rapport au concept d’Oedipe par exemple. Si j’ai vécu à un moment(12 ans) la relation avec mon père comme quelquechose proche de ‘l’inceste, c’est uniquement car il m’avait dit que nous allions partir tous les deux après un conflit familial.

    J’ai des souvenirs assez précis de ma petite enfance et si j’aimais énormément mon père, je suis certaine de ne jamais avoir songé à l’épouser. Il était mon père et le mari de ma mère; point.

    L’une de mes filles m’a bien dit, toute jeune:
    -Quand tu seras très , très, très vieille, est-ce que je pourrai me marier avec papa!

    Qu’en penser?
    Tout bêtement, qu’il y a des gens qui ont besoin de la psychanalyse et d’autres non.

    Science ou pas, placebo ou pas, « on s’en branle » si elle guérit des gens. Après, c’est comme dans tous métiers, je suppose, il y a les psychanalystes sérieux et ceux peut-être qui ne songent qu’à s’enrichir, je n’en sais rien.

    La philo, c’est bien de la mettre au niveau de tous, j’en ai toujours rêvé quand je lisais trente fois une phrase dans certains livres pour en comprendre le sens mais tout le monde n’a pas forcément besoin et envie de la philosophie.

    C’est à chaque individu normalement de trouver ce qui est bon pour lui, me semble-t’il, et il ne doit pas y avoir de dictature psychanalytique pas plus que de dictature philosophique.

    Donner l’envie de, oui
    Mais pas imposer.

    Tout un tas de gens n’ont besoin ni de l’une ni de l’autre et ne s’en portent pas plus mal et ne sont pas plus mauvais que les autres ni plus idiots.

    C’est un peu ça, mon idée, si mièvre soit-elle. je suis très attachée aux libertés individuelles tant qu’elles n’empiètent pas sur la possibilité du bonheur des autres.

    Il y a parfois aussi une sorte de dictature « intellectuelle »*

    Donner l’envie de…comme des auteurs m’ont donné l’envie de poursuivre le voyage de l’écriture. Laisser le choix…

    Ne pas mépriser « son prochain » parce qu’il est plus faible intellectuellement, ce qui ne veut pas dire qu’il ne soit pas intelligent! Et puis, merde!Il y a tous ceux qui n’ont pas eu le choix au niveau culture. Ils n’y ont pas eu accès où personne n’a été là pour leur donner l’envie. C’est comme ça et il faut l’accepter.

    Les nantis qui ont bossé pour réussir, ceux qui sont nés « avec une cuillère en argent ou en or » dans la bouche, je n’ai rien contre en soi, j’ai contre ceux qui méprisent, profitent et écrasent.

    C’est juste ça que j’avais envie d’écrire.
    Bonne nuit Bibi.

  9. luc dit :

    valerie, en attendant que Bibi ne vous réponde s’il le souhaite, je crois pouvoir ajouter qu’il y a bien pire que ceux qui sont nés «avec une cuillère en argent ou en or» dans la bouche (ce qui de toutes façons vaut mieux qu’être né avec un manche à balai dans le derrière, comme on dit chez ceux qui exercent le beau métier de journaliste) : je veux parler de ceux, qui jouent les pauvres, là même où la bourgeoisie n’en finit pas de dérouler sous leurs pieds le tapis… rouge.
    Quoi ?
    Moi j’ai dit Onfray !
    Mais non j’ai pas dit Onfray !

  10. BiBi dit :

    Chère Valérie,
    Il faudrait un livre entier pour te répondre. Par quel bout prendre ton Com ?
    Pour ça, je vais m’appuyer sur le psy Daniel Sibony et sur les premières lignes de son livre – « L’enjeu d’exister » au Seuil – qui emportent mon adhésion.
    Ma réponse ne sera circonscrite qu’autour de l’apport incontournable de Freud. Son apport est incontournable. La personne – vieux crouton un peu réac – on s’en fout un peu. Les tirs d’artillerie genre Onfray ne sont/seront ni les premiers ni les derniers auquel Freud va échapper  . Pour moi, la découverte de l’inconscient et celle du transfert n’ont que peu à voir avec des attaques sur la personne et elles ne peuvent s’expliquer par sa seule biographie.

    Ma prise de position reste simple : on ne peut pas ne pas reconnaître la présence de l’inconscient dans la transmission humaine (présence si cruciale dans les pathologies) et on ne peut pas faire abstraction du «transfert » .

    Je cite donc Sibony :

    « De fait toutes les pathologies ont une dimension inconsciente. Celle-ci fut traitée pendant des siècles par des moyens religieux, rituels, magiques, fétichistes… Freud a redonné ce qui était là, disponible et masqué – l’inconscient – et depuis, toutes les thérapies y sont confrontées, qu’elles le sachent ou non. Il est vrai que certaines l’écartent, ou le titillent en passant, alors que d’autres l’affrontent. Mais même celles qui l’évitent ne font que renommer autrement des concepts de Freud – tout en prenant leurs distances pour paraître rompre avec lui. Toutes ces thérapies, qu’elles s’appellent systémiques, familiales, groupales, TCC, ethno-psychiatriques… quand elles énoncent ce qui les distingue « radicalement » de l’analyse, révèlent une dépendance à Freud qui pourrait bien expliquer qu’elles le rejettent violemment ; alors même qu’en « ouvrant » un à un l’emballage de chaque thérapie, on trouve le noyau freudien sous une forme ou une autre ».

    Enfin, il n’est pas forcément nécessaire d’aller faire une cure.
    La Vie est une grande analyste.
    Pourtant, il est conseillé d’aller s’y balancer si le Quotidien à vivre est enkysté de telle façon qu’il occasionne des souffrances et des angoisses insupportables.

    « Les supports théoriques sont des béquilles : de quoi se lever, s’avancer, sentir qu’on peut marcher sans elles… Et mon travail, poursuit Sibony, ce n’est pas tant de mettre des mots sur des maux, c’est de trouver des mots qui aident à exister parce qu’ils sont chargés d’être… ».

  11. valérie dit :

    Plus le temps ce soir mais je retiens
    « Son apport incontournable »

    J’ai dit une fois qu’on n’avait rien trouvé de mieux que la psychanalyse et je le pense toujours

    Le chocolat certes mais ça ne soulage que sur le coup… où ça n’anime qu’un court moment

  12. valérie dit :

    Acclamé et Sidonie?

    Sibony! C’est enregistré. j’irai me renseigner à l’occasion.

  13. valérie dit :

    Dépendance et rejet…
    ça fait réfléchir.

  14. valerie dit :

    Je n’avais pas remercié Luc pour sa réponse et j’ai bien aimé son humour.
    Onfray, je ne l’ai toujours pas lu. Que dit-il précisément sur la psychanalyse, je n’en sais rien en fait, que ce que d’autres en disent.

    Je croyais avoir compris que son but était de faire de la philosophie populaire. Si ce sont plutôt des Bourgeois qui assistent à ses conférences, c’est qu’il a loupé quelque-chose peut-être(?)

    Le terme de bourgeois me gêne un peu personnellement
    J’y vois plus une mentalité
    « Mentalité bourgeoise » sous laquelle je rangerai l’hypocrisie et le dédain pour tout ce qui ne lui ressemble pas
    En poussant un peu, mes « bourgeois » ne seraient pas forcément que des gens aisés,

    Des libéraux sûrement! Pas que des gens « bien nés », des « parvenus »

    Ce n’est pas facile tous ces termes finalement, c’est toujours trop généraliste et réducteur en même temps

    Je connais bien sûr des gens très aisés qui sont restés très « humbles » et respectueux des autres. Je n’envie ni ne méprise « les riches ». S’il me méprise par contre, je le trouverai stupide et arrogant. Par contre, il y a évidemment tous ceux qui ont des avantages insupportables et scandaleux. Le problème de bien des riches, et celui qui me chagrine le plus:
    C’est qu’ils sont idiots, prétentieux, cupides, ignares et idiots!

    Si je me fais lyncher? bah… Je n’ai qu’une vie!

  15. valerie dit :

    J’ai mis deux fois « idiots »
    Mon inconscient sans doute…
    L’intelligence d’un être ne tient pas à la quantité de sa culture mais à la qualité de son raisonnement et à sa capacité à se remettre en question, non?

  16. valerie dit :

    Je fais au moins partie de la seconde catégorie
    je ne dois donc pas être si mièvre que cela.

  17. valerie dit :

    Et à la quantité de son argent… bien sûr!

    C’est bien de répéter certaines petites vérités

  18. valerie dit :

    Personne ne m’a jamais « achetée » et je n’ai écrasé personne, j’ai au moins cette fierté-là et j’emmerde qui j’ai envie, même si je reste une aide-à-domicile précaire…

  19. valerie dit :

    Il faudra que je pense à « regrouper » mes coms!

  20. luc dit :

    valerie merci d’avoir apprécié mon humour (?) mais vraiment c’est une réalité qui me fait peu rire et je trouve même qu’il y a quelque chose de sinistre dans la façon dont le manipulateur spécule (en tous sens du terme) sur la détresse de gens sincèrement désireux de se cultiver.

  21. valerie dit :

    Oui.
    je viens encore de me faire virer par des cathos comme une merde car ils vont passer 5 mois dans leur villa à Saint Trop’
    La dame m’en parlait toutes les semaines de Saint-Trop’ et me montrait des photos. Si elle avait su comme je m’en moque de sa villa à saint-Trop’!

    Je pleure
    Faut être un peu conne

  22. valerie dit :

    Je n’ai pas pleuré longtemps, je vous signale!

  23. Tony dit :

    BiBi, Anne Fulda a les mêmes propos que les défenseurs de Pétain.
    C’est fou non ?

  24. BiBi dit :

    Oui de Pétain ( ouf… sans faute d’orthographe).

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