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Jamais sans mon Foot.

Instantanés sur le foot mondial

JUSQU’ICI TOUT VA BIEN : les clubs français en chute libre. Pas une victoire en six matches de Champion’s League. Seul l’OL surnage. Un de plus ce jeudi en UEFA (Rennes de François Pinault tout rouge). On ne sera pas étonné d’entendre bientôt Thiriez-Escalette et Aulas blâmer la Présence du Grand Capital dans les instances des Clubs et dans celles des Médias Sportifs. Suggérons leur que Claude Guéant ou Henri Gueino, les amis de Little Nikos, leur écrivent leurs prochains discours.

So FOOT et CANAL PLUS : Frank Annese, rédacteur de So Foot, n’a pas été accepté dans l’équipe-rebelle de Canal Plus. Tout ça parce qu’il avait parlé du taux d’hématocrite de Didier Deschamps. Le Monde des Medias est sans pitié, Frank ! Mais ne désespère pas ! BiBi se demande quand-même pourquoi tu veux à tout prix te jeter dans le Canal ? T’es pas bien à So Foot ?

ROTHEN JEROME : Dans l’Equipe-Magazine de la semaine, Jérôme Rothen bénéficie d’un super coup de pouce pour la promotion de son bouquin. Lui, contrairement à Frank Annese, passe la pommade à l’ex-champion du Monde 98. On y apprend que notre joueur du PSG est un fondu du jeu dans les Casinos. Ami de Bernard Laporte ? Ce n’est pas dit dans le bouquin. Par contre, ami de Little Nikos, ça, BiBi en est sûr.

ALAIN BOMPARD avait pris la Direction de l’ASSE en 1997 avant de la quitter en 2004. Son fils, Alexandre, est le nouveau Directeur de la station Europe 1. Les soutiens et relais sportifs du fiston sont notre Zizou national, Marcel Desailly – dans tous les bons coups – et David Douillet. Le petit Alexandre aime jouer au tennis avec Gilles Pelisson, directeur général du Groupe Accor et c’est un grand copain de Didier Quillot, président du Directoire de Lagardère Active et d’Henri De Castries le PDG d’AXA. Monsieur Alexandre Bompard lit Malraux. Il a surement dû commencer par les deux livres « La Voie royale » et «Les Conquérants ». BiBi lui signale qu’en 1971, son écrivain chéri avait écrit « Oraisons funèbres ».

BEAUTE DU FOOTBALL : 20 et 40 millions d’euros seraient les sommes qui auraient permis d’arroser les terrains des Glasgows Rangers et du Bayern l’an dernier pour les derniers matches de la Coupe UEFA qui ont ouvert la voie royale au club de Saint-Petersbourg. C’est Gennadios Petrov qui le laisserait sous-entendre dans un journal espagnol. Pourvu que les enquêtes ne remontent pas aux quarts de finale !… En tous les cas, le Soleil brille au Zénith dans le monde du football. Qu’en disent Michel Platini et son Boss, Sepp Battler ?

PAS SI RUDE POUR RUDY : BiBi se demandait où était passé Rudi Roussillon, celui qui a mené en Grand Chef d’Entreprise le FCNantes à la Deuxième Division. BiBi aurait cru que ce Monsieur qui fit si mal ses preuves de Patron allait avoir beaucoup de difficultés à trouver du travail. Mais non : BiBi le retrouve Conseiller de Monsieur Dassault. Il répond aux journalistes du Figaro qui se plaignent de ne plus pouvoir « parler des opposants au Gouvernement » et de ne plus avoir «  le droit de parler en mal des pays dans lesquels Dassault fait du business et de ceux dont Little Nikos veut se rapprocher« . Et que dit-il ce cher Rudy ? « Il n’y a jamais eu d’intervention de Serge Dassault dans la rédaction du Figaro en quatre ans ». Aussi vrai que le FC Nantes n’est jamais descendu en Ligue 2 !

SERVETTE DE GENEVE : Des nouvelles du Servette de Genève, appendice un temps du PSG et dont Thierry Gilardi fut l’éphémère Président. Aujourd’hui, le nouveau s’appelle Majid Pishyar, iranien d’origine, franco-canadien d’adoption. Il est à la tête du 32Group, consortium qui regroupe 32 secteurs d’activité, de la Construction à la Téléphonie en passant par l’Agriculture et autres pierres précieuses). Pour situer la puissance de ce bonhomme (et celle de son fils), il a construit la piste de ski à Dubaï. Piste sous dôme où slalome Federer et sa fiancée. Majid a une photo de Zizou en sa compagnie dans son bureau. Président de l’Admira Wacker qui a coulé en Troisième Division autrichienne, il n’aime guère être sous les feux de la rampe. On le comprend : il n’aime pas qu’on lui rappelle ce qu’il a connu dans les verts alpages autrichiens : deux relégations, une liquidation financière et des dettes à hauteur de 3,4 millions d’euros. « L’homme se veut discret, écrit la Tribune de Genève. C’est, paraît-il, une qualité quand on est homme d’affaires ». BiBi l’aide dans sa volonté d’être transparent. Majid Pishyar : ne retenez pas son nom et soyez sûr que son argent n’a ni odeurs, ni couleurs.