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« J’ai rencontré Madame Hortefeux… »

En cette fin d’après-midi, BiBi rencontra Madame Hortefeux venue rendre visite à une tendre et chère amie de la Villa Montmorency.

C’est toujours très agréable de rencontrer Valérie.

Madame revenait d’un Noël à Marrakech. Elle était passée le matin-même Place Vendôme où elle avait acheté ce ravissant manteau pour la saison hivernale. « Vivement l’été » s’écria t-elle. Lui demandant où elle passerait la période estivale de cette année pré-électorale, elle s’anima en lançant un sonore : « Mais… à Saint-Tropez, voyons, BiBi… chez ma Charlotte Rampling !». Charmante Valérie ! Cependant…. passa dans son regard une lueur d’inquiétude.


Le dessin a été tiré d’un SPIROU 1974 et il a été difficile de trouver la signature du dessinateur sur la planche d’origine. Si un admirateur (de BiBi ou… de Valérie) en connaît l’auteur…

La réponse est venue de @canard5 : l’auteur de cette planche est Maurice Tillieux.

Charlotte Rampling et Jean-Noël Tassez : un couple qui fait rêver (2).

BiBi en a eu marre des pubs Allianz qui inondent ses lectures de quotidien et son écran-télé. Il s’est donc penché sur Charlotte Rampling, fille d’un haut-dignitaire de la très démocratique OTAN. Il a alors croisé Dominique Desseigne des Hôtels Lucien Barrière et la phénoménale Valérie Hortefeux. Voilà une deuxième partie très kitsch, non ?

Un Mari, beau joueur.

Monsieur Jean-Noël est un joueur de Casino. Catastrophe : dans les années 95-98, il perd au jeu 2,5 millions de francs (375.000 euros). A cette époque, Tassez vivait avec Charlotte Rampling (elle sera interrogée à l’instruction) à qui il a offert, avec l’argent en espèces, une voiture. (Source : Arrêt sur Images)

Écoutons-le pleurnicher à la barre : «J’avais perdu beaucoup d’argent au casino (sniff… sniff….) Je me suis retrouvé sans rien avec une société que je venais de créer. Pierre Falcone était accueillant, riche et sympathique». Pierre Falcone lui avait été présenté en 1995 par Jean-Christophe Mitterrand, fils aîné du chef de l’Etat. On dit (pas BiBi bien sûr) qu’il fut un des relais d’influence du vendeur d’armes. Au procès, Jean-Noël Tassez a admis avoir introduit Pierre Falcone dans plusieurs milieux et l’avoir informé sur des affaires concernant Thomson, société d’armement.

Au magistrat qui lui demandait s’il n’aurait pas dû «réduire son train de vie pour régler ses dettes et ne pas avoir affaire à M. Falcone», Monsieur Jean-Noël, très touchant, répondit : «Annoncer à Charlotte que j’étais joueur, que j’avais perdu et qu’elle devait subvenir à mes besoins, je ne suis pas certain qu’elle l’aurait vu comme une bonne nouvelle…». Quoi ? Leur grand Amour n’aurait tenu qu’à ces basses considérations d’argent ? Pauvre Jean-Noël !

Charlotte aveugle.

Avec les petites enveloppes de son homme qui avait besoin d’argent pour financer le loyer et «les vacances à Saint-Tropez», Charlotte ne se fait donc pas de soucis. A croire que les 300.000 euros par an quand il était à RMC et la Sofirad, + son travail de lobbying pour Thierry Breton (Atos Origin) + les services rendus à Omar Bongo + ses confortables dividendes de sa société Astorg Conseil, ne suffisaient pas.

Chanceux Jean-Noël ! Comme Charlotte le dit dans l’interview à Elle (septembre 2003), yeux verts fermés : «Je suis curieuse mais pas jusqu’à l’intrusion». Quelle veine ce Jean-Noël que Charlotte n’ait pas poussé plus loin sa curiosité sur les affaires de son compagnon !

Charlotte, femme d’Affaires et bonne copine.

Il a bien fallu pour le pauvre couple de subvenir à leurs besoins. Charlotte tourne film sur film. Jean-Noël récolte un an de prison avec sursis et 50 000 euros d’amende pour «recel d’abus de biens sociaux». BiBi suppose que Charlotte fit jouer ses amitiés avec Antoine Bernheim (Directeur des assurances Generali) pour être l’égérie d’Allianz. Tous ces potins, la dame aux jolis yeux verts peut les raconter à Dominique Desseigne (et ses supportrices), et surtout à la grande copine Valérie et à son mari Brice (Hortefeux) puisqu’elle les reçoit très régulièrement dans cette fameuse villa de Saint-Tropez qui faillit ruiner Jean-Noël.

Charlotte Rampling : une femme pleine d’Assurance (1).

Tiens, revoilà Charlotte !

Charlotte Rampling rempile avec une nouvelle publicité pour Allianz, l’assureur allemand. Cette fois-ci, elle n’est pas chargée de personnifier la Raison (Voir pub Allianz) mais de représenter un Monde rassurant (photo extraite du Monde du 28 janvier). Le slogan ? « Pouvoir confier sa gestion privée à un leader mondial de la gestion d’actifs, c’est rassurant ». Et c’est vrai que l’actrice, bras croisés, chemisier crème, ne manque pas d’assurances.

Une Allianz très particulière.
Madame n’est pas très curieuse (on le verra plus loin) mais BiBi va lui rafraîchir la mémoire sur l’histoire de son employeur. La Société Allianz est née en 1889 en Allemagne et elle devint l’instrument du régime nazi en 1933. Kurt Schmitt, le dirigeant de l’époque du groupe, fut nommé ministre de l’économie du IIIe Reich de 1933 à 1935 (Voir photo du présent article).
En Décembre 1997, l’assureur allemand et l’italien Generali (d’Antoine Bernheim) signèrent un accord donnant l’essentiel des AGF à Allianz tandis que Generali prit le contrôle de l’assureur allemand AMB. Aujourd’hui, Allianz est l’un des leaders mondiaux des fournisseurs de services en assurance et de gestion d’actifs dans le monde même si 2/3 des clients de l’entreprise dans le monde sont européens.

Charlotte fait son cinoche.
Sa froideur, ses distances d’aristocrate anglaise, sa voix rocailleuse et son ton sec ont intéressé à juste titre de grands cinéastes. Tourner dans les Damnés de Visconti, dans le controversé Portier de Nuit de Liliana Cavani et dans tant d’autres films de renom, ce n’est effectivement pas rien.

Une dame très people.
Voilà très longtemps que Madame assure jusque dans les sommets. N’a-t-elle pas été élevée l’an dernier au grade supérieur d’Officier de la Légion d’Honneur (en compagnie de Mireille Mathieu) ?
BiBi a trouvé sa trace le 17 juin 2006, jour du mariage de Yannick, fils Bolloré avec Chloé Bouygues, fille de Nicolas et nièce de Martin. Mariage plus discret que celui de Delphine Arnault (mais aussi coûteux). Au Pavillon d’Armenonville, le lit double coûtait cette nuit-là près de 3000 euros environ.

Un mari au cœur des Affaires.
Jean-Noël Tassez a été d’abord journaliste puis rédacteur en chef du journal… communiste (!!) «La Marseillaise». Puis Hervé Bourges va l’appeler à Radio-Monte-Carlo en 1989 : il deviendra directeur général de la Station en 1991. C’est Nicolas Sarkozy qui ira le débaucher pour qu’il soit nommé à la Présidence de la SOFIRAD (Société Financière de RadioDiffusion) holding regroupant des participations de l’État dans l’audiovisuel.
Un Homme d’importance puisque dans les petites notes des Carnets d’Yves Bertrand, on pouvait lire : «Sarko : un mec le tient : Tassez» ou encore «Tassez a reçu du fric de Falcone pour Sarko, de Jean-Christophe et de chefs d’Etat africains» (Source : Le Point). Bien entendu, il s’agit de rumeurs très malveillantes.

(A suivre).

Le Cadeau-BiBi pour l’Anniversaire de Carla Bruni Sarkozy !

Nous voilà le 23 décembre : Carla Bruni Sarkozy fête aujourd’hui ses 43 ans !

Hier, sur Twitter @pensezbibi puis @Zgur_ avaient demandé de l’aide à leurs amis. Le souci des deux bloggeurs était de chercher et de trouver quel cadeau ils pourraient offrir à la Princesse Botox en ce jour béni. Ils ont hésité devant le nombre d’idées qui leur sont venues.
BiBi rappela quels cadeaux il fit l’an dernier à la première Dame de France avant de dresser l’inventaire des choix qui s’offrait à lui :

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– 23 dec 2010 : cadeau pr l’anniversaire de Carla. Deux amplis pour l’entendre enfin chanter ?
– 23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla. Une séance de « Soins relaxants » chez le Docteur-Professeur Delajoux ?

– 23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla. Un Médiator de Servier pour soigner ses airs de guitare ?

23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla : un exemplaire broché de la Princesse de Clèves ou les Œuvres complètes de D. Barbelivien à la Pléiade ?

23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla : un sac Auchan(t) pour faire les commissions de… Balladur ?

23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla : une visite gratuite au Vatican ? (avec Jean-Marie Bigard comme guide ?)

23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla. Un déjeuner à la cantine de l’Elysée sans Verdeaux ?

– 23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla. Une baignoire dans le Sarko Force One ?

– 23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla. Une enveloppe non timbrée de Liliane pour partager le gâteau avec Chouchou ?

23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla. Le DVD « La Dolce Vita » de Fellini en V.O. ?

– 23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla : un voyage humanitaire – tous frais payés par Laurent Gbagbo – en Côte d’Ivoire ?

23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla. Une place de concert pour les Stones, Eric Clapton ou Louis Bertignac ? (au choix)

– 23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla. Un rôle dans le prochain long métrage de Dany Boon ?

– 23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla. Un somptueux… bibi pour chapeauter le Mariage du Prince William ?

23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla : des égouts tout neufs au Cap Nègre ?

23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla. Une Poupée-Vaudou autorisée, avec plein d’épingles sur le dos ?

23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla. Une semaine – tous frais payés- à Saint-Trop’ ds la villa de Charlotte Rampling – avec visite de Valérie Hortefeux ?

23 décembre 2010 : cadeau pour l’anniversaire de Carla : un exemplaire de Tintin au Tibet dédicacé par le Président chinois Hu Jintao.

Pour offrir son cadeau-anniversaire à Carla, BiBi a donc retenu… un MEDIATOR (pas de chez… Servier) pour soigner quand-même ses airs de guitare.

@Zgur_ ne s’est pas encore prononcé.

Et vous ?

Les Hortefeux, amis des milliardaires de Droite.

Brice Hortefeux, tout rose de colère, s’est insurgé contre la Gauche milliardaire. De quoi rire lorsqu’on se souvient des vacances de Monsieur Brice chez les Auvergnats richissimes d’Agadir… Agadir (ou Marrakech) où il passe régulièrement ses vacances dans les Palaces ou les ryads de ses potes tous fauchés comme les blés. Souvenons-nous qu’à Noël 2006, Monsieur Brice prenait ses petits déj avec Jean-François Copé, le françafricain André Guelfi et Bernard Tapie au Palace marocain du Dorint Atlantic, face à l’Océan. Il y causait alors des affaires du Crédit Lyonnais et du beau cadeau de Noël qu’il fit au génial Nanard quelques mois plus tard.

Parlons aussi de Valérie, sa très gentille épouse, elle aussi amie de « Milliardaires de Droite ». Elle fait régulièrement ses courses dans les quincailleries de la Place Vendôme à Paris. La jolie Dame de Brice s’est même crêpée le chignon avec une cliente qui avait visé le même vison qu’elle et l’avait menacée : « Attention, mon mari est Ministre de l’Intérieur ! ».

C’est toujours en amie de milliardaires de Droite qu’elle et son mari sont les invités réguliers des hôtels chics de Marrakech appartenant à Lucien Barrière (Hôtel Naoura par exemple). D’ailleurs, ils participèrent à l’inauguration en grande pompe de ce dernier hôtel avec les frères Hermès (ceux qui ont embauché Florence Woerth) et tous les pauvres types de la jet-set parisienne (Laurent Gerra, Alain Chamfort en tête).

Entre deux réceptions prolétariennes, les Hortefeux vont se reposer à Saint-Tropez où ils adorent recevoir Charlotte Rampling et son mari, abonné au RSA, Jean-Noël Tassez, top conseiller en Com’ et ex-directeur de Radio-Monte-Carlo. Sans compter les visites impromptues d’Edouard Balladur, de Bernard Arnault, de Didier Lombard.

Citons encore les Clubs auxquels Madame Valérie appartient : le Cercle MBC (ex-Maxim’s Business Club) où elle tient conversation avec les déshérités Nino Cerruti, David de Rothschild, Ernest-Antoine Seillères, les Princesses Napoléon et de Savoie. Pendant ce temps, Monsieur Brice, lui, s’en va boire un coup au Jockey Club ou au Centre Interallié, là où les Auvergnats se font rares et où il se gausse avec ses richissimes amis des Milliardaires de gauche.