Monthly Archives: juin 2014

12 montages-photos d’«humour» politique.

Rire Twitter

Le Rire ! On trouverait à rire dans mon blog ? Je n’en suis pas si sûr. Ou alors il s’agit d’un rire crispé, d’un rire au-delà du rire rigolard. Bref, comme dirait Lautréamont, d’un « rire qui ne rit pas« . Oui, je suis toujours un peu étonné que le lecteur ou la lectrice trouvent à rire à mes compositions photographiques. 

Étonné car le rire-bibi a presque toujours partie avec la Mort (ici le rire pharaonique sur le choix du dessin), avec le Politique (je vois mal les journaleux du JDD ou du Figaro-Magazine se tenir les côtes en regardant mes planches) et avec… le Mortifère dans le Politique.

J’ai rassemblé ici quelques photo-montages déjà mis en ligne sur Twitter (pour certains d’entre eux).

Douze petits travaux dont le plus important est certainement le dernier.

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Nouvelle de Rio de Janeiro : « L’Accolade de l’Ours ».

Football

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Nous étions en janvier 1998 et la France du football se préparait à recevoir les équipes qualifiées pour le tour final de la Coupe du Monde. C’était l’euphorie black-blanc-beur. Nous n’allions pas tarder à répéter « Un-Deux-Trois-Zéro » ou encore à sautiller, bras dessus, bras dessous, en criant joyeusement « Tous Ensemble ! Tous Ensemble ! » Depuis quelques années, j’avais eu idée d’écrire sur le football d’alors, sur le drame du Heysel, sur le ballon rond en Afrique et de camper mes personnages en Italie, Angleterre et… en Argentine et au Brésil, deux pays où je ne me suis jamais rendu. Je rêvais qu’avec mon recueil de 14 nouvelles et les subsides que je ne manquerais pas de recueillir, je pourrais peut-être aller là-bas vérifier que mes nouvelles n’étaient pas si éloignées du Réel ! Hélas.

Billet 1400 : « Le libéralisme, la Gauche et moi ».

1400

1400 billets depuis que j’ai ouvert mon blog en mars 2008.

C’est presque par hasard que je suis tombé sur ce nombre. En relisant mon premier souhait de blogueur d’alors (mars 2008), j’ai été plutôt content d’avoir gardé toujours ce même désir (leurre nécessaire) dans mes billets: «que les Esclaves acceptent un peu moins leur servitude, que les Damnés de la Terre souscrivent un peu moins à leur propre domination sociale». (Pierre Bourdieu).

OK, applaudissez-moi sauf que… j’ai tort de ne m’en tenir qu’à ce désir particulier. Non qu’il soit faux (il est de première nécessité) mais il peut donner à penser que mes états d’âme n’auraient à être lus que dans un rapport d’extériorité avec le Monde. Bref que je me poserais en donneur de leçons.

Or, dans ce Monde, j’y suis. Et pas qu’un peu. J’y suis… et jusqu’au cou. Et je rajoute que vraiment vraiment je ne suis pas au clair en cette période troublée. 

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