Charles JULIET, le Scribe de la Source (2).

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Il n’est de plus beau merci que celui de Charles Juliet à ses compagnons (Camus, Pavese, Maitre Eckhart, Thérèse d’Avila, Krishnamurti, Georges Haldas etc) et à ses compagnes de plume (Marguerite Duras en tête) :

«Écrivains morts ou vivants, vous qui m’avez aidé à me construire, qui m’avez réconforté, épaulé, nourri, qui m’incitez à creuser davantage, je pense à vous avec ferveur, tendresse, reconnaissance. Pauvre et désolée aurait été ma vie si vous ne l’aviez généreusement fécondée».

C’est avec cet extrait que je vous invite à continuer de suivre Charles JULIET, un de nos très grands écrivains français. Vous continuerez à l’écouter ici dans cette seconde partie de ma vidéo. Seconde partie de cette rencontre (29 novembre au Château de Ripaille de Thonon les Bains) au cours de laquelle Charles JULIET eut l’occasion de parler, avec émotion, de son singulier trajet dans l’écriture.

Ici, première partie de l’intervention de Charles JULIET.

2 Responses to Charles JULIET, le Scribe de la Source (2).

  1. Rém* dit :

    Merci-Qui?-Merci-Bibi!
    Il me reste un très grand écrivain, de ma génération, à découvrir !…
    Pourtant il y a longtemps qu’on m’en parle : « Tu devrais lire… »
    Mais je n’en ai jamais pris le temps, impressionné aussi de l’exigence qu’il semble demander, avec raison, à son lectorat : « attention ! Je fais simple !!! », qualité suprême d’une écriture exigeante …
    J’ai vécu à Genève, dont Carouge, vers 82-85, c’est là, entre poètes, qu’on parlait de Juliet…
    C’est Boulevard des Philosophes et Plain-Palais de Genève, vers ces années, que j’ai bavardé avec Georges Haldas, doux vieillard et immense poète, que je vénère – moins bien que Charles Juliet, sûrement.
    Bref, cela me donne un coup de jeune-vieux (76 automnes!)
    Bref, suivez le guide, son nom est Poésie !

  2. BiBi dit :

    @Rem
    A ton écriture et à tes interventions ici, je ne te voyais pas avec 76 automnes mais avec plutôt 75 printemps.
    Oui Georges Haldas, rencontré deux fois à Genève au Salon du Livre. Une oeuvre qui m’a touché, épaulé, aidé à vivre.

    Quant à Charles Juliet, oui, une exigence peu commune qui force l’admiration.
    Mais je rajoute  » à chacun de vivre singulièrement et de penser bibi. 🙂 »

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