Quatre caresses musicales.

 Musique

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Comme l’écrivait Vincent Van Gogh à son frère : « Il faut vivre musicalement ». On laissera Mozart, Haydn, Dvorak de côté. On laissera les guitaristes (d’Hendrix à Paco De Lucia) de côté. On ne parlera ni de Janis Joplin, ni de Dylan, ni de Springsteen, ni du Floyd ou des Stones. Ne viendront ici que des instantanés musicaux, des petites pièces qui vous font chavirer, qui vous emportent, qui vous font rêver. Douceurs éphémères d’une nuit tropicale. Echos des silences de montagnes. Tout se mélange pour nous porter à l’étonnement climatique, à la surprise inouïe.

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Un enchantement. Une voix à vous couper le souffle.
Madeleine Peyroux  (Dance me to the end of love).

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L’harmonica de Toots tout empreint de « saudade« 

La voix est incomparable, la voix est exquise.
Voix de velours de Caetano Veloso.
(Coraçao Vagabundo)

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Pas mieux pour regarder votre partenaire, la tenir aux hanches, poser votre tête sur son épaule.
Pas mieux que les vieux briscards : John Lee Hooker et Van Morrison.

Don’t Look Back ).
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Sa lumière descend dans les corps et tout se met à danser. 
Il met le feu comme personne.

Thierry TiTi Robin   ( La Petite Mer ).

One Response to Quatre caresses musicales.

  1. Robert Spire dit :

    Tiens, j’ai passé cet aprés-midi pluvieux à ré-écouter mes vieux « Malicorne ».

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