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Dominique Desseigne, Milliardaire de Droite (1).

Lorsque BiBi tente d’analyser la France d’En-Haut, il la considère toujours comme un iceberg. Il se rend compte alors que plus les choses visibles prennent de l’importance et plus il y en a de caché.

En se penchant sur Dominique Desseigne («DéDé»), ce qui se dégage surtout, ce sont :

1. Les liens de solidarité de classe. Les recherches de BiBi qui ont démarré sur DéDé vont inéluctablement, inévitablement croiser les Sarkozy, Woerth, Eric de Sérigny, les Desmarais, le SportFive de Lagardère, la Maison Bouygues, Albert Frère etc…

2. La présentation du parcours de DéDé, ses relations de confiance et de reconnaissance s’appuient sur une légende abondamment nourrie par les magazines Challenges, Paris-Match, les sites Pure People, les interviews à des journaux à haute teneur économique etc. Exemple de ces fictions : «Qu’est-ce qui fait courir le veuf de l’héritière des casinos Barrière ? Les femmes et l’argent, disent les uns. L’amour de ses enfants, dont il fait prospérer l’héritage, disent les autres. Lui se fiche des on-dit, il gère».

DéDé, un « grand petit garçon ».

La légende Dominique Desseigne-Barrière est toujours rapportée via un parfum mortifère (ça fait vendre plus les journaux que son livre – «Tout pour être heureux» chez Plon que l’on trouve à 0,90 euro chez Price Minister) :

1. Lucien Barrière : en 1991, il décède d’un arrêt cardiaque au cours d’un test d’endurance à l’effort.

2. Diane Barrière est sa fille adoptive. Son premier mariage, avec Thierry Gaubert, ex-conseiller de Nicolas Sarkozy au ministère du Budget, a tourné court. En 1980 chez Régine, Diane rencontre le beau «Prince Consort», notre Dédé surnommé moins flatteusement «le grand petit garçon» (il fait 1.91m) ou «le bel adolescent prolongé» (dixit l’ami Philippe Bouvard)

Diane, sa femme est décédée en 2001 après avoir été tétraplégique suite à un accident d’avion survenu le 16 juillet 1995. «Cela, rapporte DéDé, m’a fait voir les vraies choses. Je suis devenu à la fois plus fort et plus fragile».

Voyons voir de plus près ces «choses vraies». Peut-être les trouve t-on dans cette belle phrase assénée : «Ma responsabilité, c’est de protéger les actifs de ma famille». Dans ce monde-là, remarquons que «Actifs de la famille» et «famille», c’est exactement la même chose.

La famille.

Avec Joy et Alexandre (ses deux enfants avec Diane), il forme un trio très uni : «Pour eux, j’ai été la maman et le papa», explique-t-il. Aujourd’hui Joy a 19 ans, Alexandre, 22 ans. Tous deux ont obtenu mention «bien» au bac. Elle est en préparation HEC à Franklin. Lui, après deux ans aux Etats-Unis, a réussi à un master (ne demandez pas à BiBi lequel).

Ils se disent complices et complémentaires. Il n’a pas le permis de conduire. Joy, elle, préfère souvent le métro au chauffeur. Le métro ? Noooon, sans blague ? Alex est – parait-il – le roi de l’Internet. Il pourra toujours venir saluer BiBi sur son blog et y déposer un com’.

Hélas, nous dit son papa, Alexandre est réservé, mesuré, et couche-tôt. Joy, elle, est le portrait craché de Diane. «Elle me bluffe, nous dit son papa, je retrouve ma femme (..) Elle a la même soif de vie, la même énergie. Capable de bosser comme une brute pendant la semaine, et le samedi, son jour de sortie, de rentrer à 6 heures du matin, après avoir fait la fête au Baron, aux Planches ou chez Régine». Heureuse progéniture !

Playboy vieillissant.

Playboy vieillissant (il a 66 ans), un peu flétri, Monsieur n’aime pas boire, n’aime pas fumer. Par contre, il aime la drague et les femmes. Attention ! Pas n’importe lesquelles. :«Il a eu des amours flatteuses, pas précisément des caissières de supermarché» clame odieusement un de ses amis.

Avant sa rencontre avec Diane en 1980, il avait déjà conquis une fille de la famille Darty et surtout – sans suite – Corinne Bouygues, réfugiée aujourd’hui en Helvétie avec son mari, le cinéaste Sergio Gobbi.

En 2002, DéDé se fiance un temps avec la richissime et médiatique milliardaire Libanaise Mouna Ayoub (une in-cro-ya-ble fortune !)  DéDé viendra souvent avec elle à Deauville au bal de l’Association Care animé de façon très «humanitaire» par Michel Drucker et Arielle de Rothschild. Adieu Mouna et Bonjour Sophie Desmarais avec qui il partagera sa vie de 2006 à 2010. Cette starlette est la fille du Québécois Paul Desmarais, l’ami de Chouchou. Sophie est la fille d’une des plus grosses fortunes mondiales et l’ex-épouse de l’acteur Christophe Lambert. Qui dit mieux ?

Entretemps, DéDé a connu Rachida Dati avec qui il voyagera – heureux hasard – dans le même avion en partance pour les îles (d’Arros ?) En 2009, l’infatigable Dédé partage sa vie avec Elisabeth Bouteiller, issue de la noblesse bordelaise, qui a abandonné France 2 («Envoyé Spécial») pour…  « Stars et Fortune » sur M6 ! Elisabeth a beaucoup de chances car Dédé doit probablement lui donner beaucoup de tuyaux et de conseils pour étayer son émission. (A suivre).

Billets à venir :

Les 39 vrais faux mensonges d’Eric Woerth.

1. C’est un mensonge : je ne m’appelle pas Eric Woerth.

2. Je n’ai jamais dit que je ne connaissais pas Monsieur de Maistre.

3. Je n’ai jamais rencontré le Président de l’Association des Courses de Compiègne.

4. C’est Florence qui s’occupe des courses (de chevaux).

5. Sur l’argent des Bettencourt, Florence n’est pas au parfum car là, comme ailleurs, l’argent n’a pas d’odeur.

6. J’ai annulé la réunion du Premier Cercle du 28 juin.

7. Nous avons renforcé notre arsenal de lutte contre l’évasion fiscale. Aujourd’hui nous allons plus loin.

8. L’objectif est que 100% des résidents Français qui détiennent un compte non déclaré à l’étranger le déclare.

9. Tous les hommes et les femmes politiques sont soumis à beaucoup de questions de la part des citoyens, c’est bien naturel. A nous de relever le gant et de répondre aux questions des Français.

10. De ma vie, je n’ai rencontré ce Monsieur Nicolas Sarkozy.

11. Je suis un mari honnête, pas une marionnette.

12. Albert Frère est mon frère.

13. Je n’ai jamais rencontré mon frère Albert Frère.

14. La France a un problème avec l’argent.

15. Je connais infiniment plus de gens modestes que de gens riches.

16. Les gens modestes viennent tous les deux mois faire des dons à l’UMP à l’Hôtel Bristol.

17. Nous avons tous saisi un jour un ministre pour la Légion d’Honneur en oubliant aussitôt qu’on l’avait fait.

18. Trésorier de l’UMP et Ministre du Travail… ce cumul ne me gêne pas.

19. Florence est allée se reposer. Après l’Affaire de France Galop, elle a eu une fièvre de cheval.

20. Florence se remettra en selle.

21. Florence n’aime plus son bibi.

22. Florence n’a jamais aimé BiBi.

23. Merci à Carla Bruni d’avoir pensé à m’écrire une chanson.

24. Ma femme est honnête.

25. Je suis honnête.

26. Je suis fidèle.

27. Ma femme est fidèle… à Genève.

28. Les gens me voient vivre à Chantilly depuis 25 ans. On ne peut pas tricher avec eux.

29. Je suis prêt à 120%.

30. Je suis près de 1,2%.

31. Claude Guéant, Raymond Soubie ne m’ont rien raconté de leur virée au Cap Nègre.

32. Je fréquente les gens modestes et je connais le salaire de Louvrier.

33. J’ai 54 ans et je suis lessivé, carbonisé. Je prends ma retraite demain.

34. Florence et Madame Bettencourt s’entendent très bien : Liliane est sourde et ma femme a décidé de rester muette.

35. Qu’est-ce que fout Anne Méaux ? Je la paye assez cher.

36. Je connais le football et je réclame dès aujourd’hui la démission du Ministre Laurent Blanc.

37. J’aime jouer avec l’équipe des vétérans de Chantilly.

38. Je vais contacter L’Oréal pour mettre de la pub sur nos maillots.

39. Je vais écrire une lettre de démission à Nicolas Sarkozy mais je demanderai l’enveloppe à Liliane Bettencourt.

[Sont des paroles vraies : 2-3-6-7-8-9-14-15-17-18-24-25-28-29-37]

Nicolas S. et les Arts : un Maître en Littérature (1)

Un Promeneur littéraire unique.

Catherine Pégard, conseillère élyséenne de Nicolas Sarkozy, nous a loué son Maître dans le JDD, le qualifiant de «Promeneur littéraire». Chouchou, qui connaît par cœur les Œuvres monumentales de Johnny et de Didier Barbelivien, serait un familier de Jacques-Henri Pinault, spécialiste de livres anciens «auquel il rend visite depuis des années dans sa librairie de la Rue Bonaparte».

Toujours d’après notre Dame, le Président pourrait parler des heures durant (mais hélas, il est toujours pressé) du «désir dans l’œuvre de Proust», rajoutant que notre grand Dévoreur de livres sait parfaitement le titre des livres d’Henri de Montherlant. Chouchou aime « La Reine morte« , BiBi préfère « Le Roi se meurt » d’Ionesco.

A propos de Camus, circulait cette rumeur inepte et tenace que Chouchou avait confondu Camus le Cognac et Camus l’algérien lors d’un cocktail à New-York. En tous les cas, ses Conseillers Com’ ont confirmé qu’en 2012, il lira « La Chute » de l’auteur non-panthéonisé.

Des goûts très affirmés.

Question Hauteurs et Auteurs, Catherine Pégard  la Conseillère ne nous a pas tout dit : rappelons-nous que Chouchou avait beaucoup aimé le Goncourt de Jonathan Littell (surtout les premières pages) et qu’il en avait fait son livre de chevet. Il avait été aussi très emballé par Gérard de Nerval et par Marcel Proust (on avait immortalisé notre Président en une photo-agitprop qui fera date – voir photo).

Notre Président a même des goûts très affirmés : par exemple, il n’a pas du tout aimé la Princesse de Clèves (il n’y a qu’une Princesse et elle s’appelle Carla) mais il ne dédaigne pas lire et relire du Julien Gracq auquel il a rendu hommage… après avoir consulté Wikipédia.

Une culture impressionnante.

L’Express nous avait livré de précieuses infos sur le goût de la lecture de notre Président. Au Cap Nègre, le voilà faisant visiter la «chaise longue où il lit». Dans son avion de milliardaire, il laisse traîner négligemment un exemplaire des « filles du Feu» de Gérard de Nerval. Il s’enferme pour lire Zweig, Borgès et Zola. Sur Zola, il confond – malgré les cours attentionnés de Carla – Rougon-Macquart et «Roujon- Macquart». Il a attaqué Le Clézio, Stendhal et Houellebecq (décoré à l’Elysée) et aussi Albert Cohen (avec Belle du Seigneur). Obligation : Solal, le héros d’Albert Cohen, avait été accolé au nom de Sarkozy (le bébé avait Jean-Jean, le fiston à pistons comme Papa et Jessica de chez Darty comme Maman).

Prochain article : « Nicolas S. : un fondu de Cinoche ».

2005 : Edouard Stern s’en va, Eric Woerth arrive.

La lecture : un formidable passe-temps.

BiBi a fini la lecture de deux livres sur le banquier Édouard Stern (photo Le Temps.ch). Le premier, de Valérie Duby et Alain Jourdan (aux Éditions Privé et publié en 2006 : «Mort d’un banquier» Les dessous de l’Affaire Stern) nous en apprend de belles sur les réseaux tissés autour de ce Pirate de la Finance (1). Dans les 240 pages, il ne sera question que de comptes bancaires genevois, russes, d’offshore (îles Caïman, Antilles néerlandaises), de flirt prononcé avec la Chambre de compensation Clearstream, de rachats, de coups bas, d’inimitiés, de haines et de solidarités de caste. Évidemment pas de sentiments hormis des pulsions à satisfaire (les femmes tiennent des rôles secondaires mais indispensables). Le piétinement des valeurs humanistes est quotidien et la course effrénée au profit, affaire de toutes les minutes.

Inventaire des Amis (surtout les Grands).

On a aussi toute la panoplie des amis qui deviennent ennemis et vice-versa.

Édouard Stern était en effet le grand ami de Nicolas Sarkozy et de Cécilia, du… « socialiste » Hubert Védrine (2), d’Henri Weber le…  trotskyste, fondateur de la Ligue Communiste Révolutionnaire, de Paul Desmarais, d’Albert Frère. C’était un amateur d’art (2) et de musique (il détenait 33% de la Maison de disques Naïve qui produisait alors… Carla Bruni pas encore Sarkozy). Le bonhomme demanda «un permis de port d’armes à son ami Nicolas Sarkozy, alors Ministre de l’Intérieur» et il l’obtint grâce à «Claude Guéant, directeur de cabinet de NS qui géra en direct ce dossier sensible» (page 58).

Edouard Stern et l’Oréal.

«De Genève, Edouard Stern règle au début des années 2000, les détails capitalistiques du partenariat entre l’Oréal et Nestlé dans le holding Gesparal. Le PDG de l’Oréal, Lindsay Owen-Jones, a toute confiance en Édouard Stern pour qu’il aide à régler la question du pacte d’actionnaires qui lie, depuis 1974, le groupe de cosmétiques à Nestlé et à la famille Bettencourt » (page 187).

Les auteurs insistent : «Edouard Stern a un carnet d’adresses fourni. Il est proche de deux grands comptes, Elf et l’Oréal » (page 181). D’ailleurs, notons cette coïncidence : Édouard Stern, grand pourvoyeur de Chouchou dans son ascension présidentielle, est mort en 2005. Il n’aura pas fallu plus d’un ou deux mois pour qu’Éric Woerth ne rentre à son tour dans la danse et fonde avec l’aval de l’ami Nicolas « Le Premier Cercle » qui rassemble de bien généreux donateurs (3).

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(1). Le second livre que BiBi achève s’intitule « Le Fils du Serpent » et c’est un Airy Routier bien indulgent qui l’a écrit aux Éditions Albin Michel.

(2). On aurait en effet tort de ne regarder qu’à droite. Dans le carnet d’adresses d’Édouard Stern, on trouve «DSK avec qui il partage une passion pour la peinture et l’art en général». et le « socialiste dont il est le plus proche»,«ancien premier ministre de Mitterrand… Laurent Fabius» (page 176).

(3). Si des fois, Eric repasse devant les bureaux de la Brigade Financière, il pourra toujours répondre à la Question-BiBi : «Éric, as-tu connu Edouard ?»

Les Flèches de BiBi (15 /31 juillet).

Sarkozy grimpe dans les sondages !

Le Président est un « bon président » pour 53% des Français (+12 points par rapport à mai !), selon un sondage CSA publié hier. 43% des Français pensent que le Président doit « continuer à gérer les principaux dossiers du pays » durant ses vacances et 51% qu’il doit « se reposer complètement » après… son malaise. Son malaise ? C’est alors que BiBi se rendit compte qu’il lisait le numéro du Figaro du 23 juillet… 2009.

Nicolas… Nicolas Demorand.

A la question : « Que pensez-vous des tensions qui minent actuellement l’antenne de France-Inter », Nicolas Demorand répond sans rire : « Le nouveau mode de désignation des dirigeants des grands médias publics est à l’origine des tensions qui règnent dans ces entreprises. Il y a fatalement un soupçon qui pèse sur ces dirigeants. Cela complique très fortement le management… ».

C’est évidemment plus simple et beaucoup moins compliqué à Europe 1 où le journaleux a été transféré. Là-bas, au royaume d’Alexandre Bompard, jeune énarque promo Cyrano, ex-pensionnaire du Cabinet Fillon, pas de soupçon possible. Une transparence totale : tout le Monde sait que la station appartient au Frère Lagardère et qu’Alex Bompard est très copain avec Alain Minc, qu’il est aussi très pote avec Stéphane Courbit et bien sûr très ami avec notre Président. En toute indépendance, bien sûr.

Garden-party : de l’eau et du Champagne.

A Paris, pas de réception grandiose pour le 14 juillet. En d’autres temps (année 1995), on fêtait ça sans complexe. Chirac arrivait vers 19 heures, appréciait la beauté des demoiselles malgré le courroux de Bernadette. Il «serrait des mains et buvait des coups» selon le traiteur Marc Vigneau-Desmaret. Tout ça ne manquera pas à Chouchou. Impopulaire, il n’y a plus personne pour lui tendre la main. De plus, élevé à l’eau plate, il déteste le vin. Tout le beau Monde le dit : Chouchou ne boit que des Verdeaux.

A New-York, pour sa participation à l’Assemblée générale des Nations Unies (21 au 24 septembre dernier), la délégation française comprenait 132 membres auxquels il fallut rajouter les 31 membres de l’équipage des trois avions. Coût total de l’accueil-hébergement : 1.145.279 euros. Ah ! le bon vieux temps ? Eh bien, non : alors que tous les consulats ont vu leur budget se réduire, celui de New York continuait son train de vie. C’est vrai qu’il est sponsorisé par… des marques de Champagne. Un consulat probablement arrosé par la Maison UMP Taittinger.

Non, on n’imagine pas !

La Famille Sarkozy sera bien occupée pendant le mois d’aout. Chouchou attendra au Cap Nègre que Chochotte en ait fini avec Woody Allen à l’Hotel Bristol. BiBi a réentendu notre Président lors de son intervention télé apostrophant Pujadas et les Français : «Vous m’imaginez, pendant un dîner, devant les convives à tables repartant avec l’argent ? ». Bien sûr que non, se dit BiBi qui conseille au Président, féru de cinéma, de revoir un film de Woody Allen datant de 1969. Son titre ? «Prends l’oseille et tire-toi ».

Plein soleil sur Nicolas et  ses amis.

Dans son intervention télévisée, Chouchou, très rebelle, s’est offusqué des pressions : «Quand vous mettez en œuvre des réformes, vous bousculez des intérêts, des situations acquises, un certain nombre de gens… ». Des intérêts ? Chouchou, lui, a – contrairement à ces mystérieux comploteurs tapis dans l’ombre et le brouillard – des amis très désintéressés. Citons : Dassault, proprio du Figaro, Lagardère (proprio de 17% du Monde, du JDD, de Paris-Match, d’Europe1, des éditions Hachette), Bouygues (TF1), Vincent Bolloré (journaux gratuits, Havas, SFP, Direct8), Bernard Arnault (Les Echos) etc. BiBi conseillerait bien au Président, très féru du cinéma de Woody Allen, d’aller voir un de ses films datant cette fois-ci de 1992. Son titre ? « Ombres et Brouillard ».