BiBi est tombé sur un billet de Didier Goux que le courageux bloggeur a retiré deux jours après. Trop tard : BiBi avait déjà retenu toutes ses fautes de Goux.
Délires de Mégalo.
En des temps lointains, le bloggeur Didier Goux avait traité BiBi de «p’tit con» tout en se vantant de «n’avoir jamais lu une seule ligne de lui ». Voilà notre bonhomme qui récidive contre Olivier Bonnet, CSP et la sensible et déterminée Céleste (1) à propos de l’assaut meurtrier des Israéliens.
En rage contre les amis de BiBi, il décrète – a contrario – que ces trois bloggeurs n’ont «absolument aucune importance» et il rajoute qu’ils «peuvent continuer à s’associer, tout le monde s’en fout». Singeant une certaine Suzanne, Didier Goux nous ressert alors le même délire mégalo-maniaque, le «tout le monde » prenant lieu et place de son… petit monde.
Petits « appels au meurtre » très rigolos.
Courageux comme pas deux, Didier Goux mit donc en ligne un billet où il reconnaissait «(certes) l’erreur d’Israël» mais continuait de traiter les amis de BiBi de «clowns », de «guignols », d’«imbéciles », de «cons et connards », d’ «antisémites », de « merdeux» avec, en supplément, quelques petits «appels au meurtre» très rigolos. En version euphémisée, cela donnait : «Il convient de les éliminer » ou « VOUS ME FAITES CHIER » (en gros pâté SVP) etc.
Une autocritique en italiques.
Contrairement à Didier Goux, BiBi, lui, adore s’attarder sur les « macérations corticales» de son/ses adversaire(s). Il s’est donc voluptueusement penché sur les tics de langage du bonhomme.
Notre génial bloggeur ou piètre Danseur (au choix) fit un premier pas en arrière : il retira piteusement son billet avec l’explication suivante : «J’ai viré mon billet, ce matin, simplement parce qu’il était mauvais ».
BiBi s’amusa beaucoup de cette pseudo-autocritique en remarquant ce petit maquillage typographique : l’adjectif « mauvais » était en effet écrit en italiques. Italiques qui ont une fonction précise : elles veulent nous persuader que l’explication du retrait de l’article n’a plus besoin d’être discuté. Fermez les guillemets et circulez, il n’y a plus rien à voir, il n’y a plus rien à lire. Masque grossier et pauvre astuce qui cachent un vide abyssal de pensée et suppléent une totale absence d’argumentation.
Devant la difficulté à justifier l’assaut israélien, que restait-il donc à notre bloggeur ? La haine, la litanie des insultes qui iront jusqu’à l’étouffer (et jusqu’à retirer son article). Bouuuh, le couard !
La Virgule : une faute de Goux.
Continuons sur la prose de notre Agité et admirons les confusions :
«On doit être violent, [virgule] contre les communistes comme on doit l’être contre les nazis». Le trait de ponctuation qui suit l’adjectif «violent» n’est évidemment pas à sa place. Notre bloggeur aurait dû remballer sa virgule pour rendre sa phrase plus lisible.
Confusion-bis dans un titre de billet, cette fois-ci : «Mais qu’est-ce que j’ai, [virgule] à m’énerver contre ça, moi ?». Suggérons là aussi à ce Roitelet de la Grande Langue française d’éliminer la virgule pour rendre son interrogation plus compréhensible.
«Mais qu’est-ce que j’ai à m’énerver contre ça, moi ?» Voilà qui serait beaucoup mieux, Didier.
Et BiBi peut alors te répondre : «Tu veux savoir ce que tu as, Didier ? » Sache que BiBi n’en sait rien du tout. Une chose lui est cependant sûre et certaine, Didier, c’est que tu as de gros, de très gros problèmes avec… ta toute petite virgule.
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(1). Notre bloggeur, un tantinet misogyne, a du mal à supporter le signe (e), symbole lettré du Féminin. Suite à un commentaire de ce Monsieur Goux sur le blog de Céleste, BiBi émit l’hypothèse d’un transfert amoureux de notre vilain bonhomme sur la charmante Céleste. Effet latéral immédiat : quelques jours plus tard, Didier, hors-de-lui, retourna sa rage impuissante contre… Olivier Bonnet.