Tag Archives: Bucarest

Victoire de l’OM face à Bucarest (un clip de BiBi).

 

[dailymotion x9tym5]

C’est devant 3000 spectateurs au stade Joseph Moynat de Thonon les Bains que les Olympiens ont affronté hier le club roumain du Dinamo de Bucarest. En match amical, les deux équipes étaient restés sur des victoires : l’OM de Didier Deschamps avait battu Neuchâtel (2-0) et Bucarest avait battu le FC Nantes à Annecy.
Le temps était idéal : une température douce et pas de vent du tout. Le match fut peu engagé : ça sentait le début de saison. Après dix minutes insipides, le match allait enfin s’animer avec plusieurs corners à l’actif de l’OM. A la 22 ième minute, faute sur Niang à 25 mètres, face au but roumain. Niang voulut se faire justice mais c’est Ben Arfa qui fut le plus prompt à tirer. De son pied gauche, il logea le ballon dans les filets du gardien roumain après avoir lobé le mur. Coup-franc magistral qui donnera certainement confiance à ce doué du ballon.
Les Olympiens avait la maitrise du jeu et, treize minutes plus tard, ils allaient doubler la mise par un Niang toujours aussi opportuniste. L’OM crut alors le match plié lorsque la défense connut un double relâchement coupable qui engagea la responsabilité de Rodriguez, berné par deux roumains bien malins et celle de Mandanda qui laissa filer le ballon au second poteau pour une première puis une deuxième tête de Danciulescu.
La seconde mi-temps vit beaucoup de changements : le principal fut celui de Rodriguez alors que la plus importante entrée fut celle d’un Valbuena très applaudi. Le score allait en rester là avec une sortie à a 75ième minute de Niang, acclamé. Lucho et Diawarra restèrent sur le banc. A noter la bonne prestation de Sabo. L’air de nos montagnes aura tellement fait de bien aux Olympiens qu’à n’en pas douter, ils gagneront évidemment la Champion’s League !

BiBi a fait son entraînement avec l’OM…

Roumanie : un football dans tous ses états.

La Roumanie sur la paille ?

12 juillet 98 : joie dans les rangs, liesse dans le pays. Les Bleus gagnent leur Coupe du Monde. Quelques jours plus tard, je rencontre un haut dignitaire roumain, un peu dubitatif. « D’accord vous avez gagné mais nous, dans notre équipe nationale, nous n’avons que de vrais roumains. Tandis que vous… » Sa phrase en suspens me désignait les Thuram, Dessailly, Henry, Zidane and Co. Ici, là-bas : Racisme pas mort !