C’est foutraque. C’est le bazar. C’est le fatras. C’est sens dessus dessous, ça part, ça repart de partout. Bah, pourquoi pas ? La trajectoire multidirectionnelle de ce billet n°1474 qui va des Communistes des Minguettes à la beauté insolente de Laura Antonelli, décédée ce mardi, faut-il que je me (vous) l’explique ? Je ne sais rien et ne veux rien savoir de ces liens secrets, de ces coïncidences rapportées ici : ça s’écrit, ça s’entasse et puis basta.
Seul espoir fou qui demeure : la lectrice, le lecteur. A elle, à lui de voir, à elle, à lui de lire.
Pour la sixième année, LoloBoBo invite les blogueurs à choisir un morceau musical pour l’été qui vient. Déja participant dans les années précédentes, me voilà – je l’espère – dans le bon tempo, dansant sur la bonne note, celle conjointe de John Lee Hooker et de Van Morrison l’Irlandais. Morceau de (mon) choix, voilà ce superbe «Don’t Look Back». Et pour le justifier, ce petit texte d’accompagnement…
Voici quelques photos tirées de mes dernières semaines sur Twitter. Des photos à peine triées, des photos accompagnées de quelques lignes à peine retouchées.
Disons-le net et précis : la fiction cinématographique de Stéphane Brizé m’a laissé perplexe. Avant tout développement, soyons clair et ne transigeons pas là-dessus : les Droits de la Fiction sont imprescriptibles. «La fiction n’est pas seulement un droit – le droit de penser – c’est aussi un moyen de penser» (Leslie Kaplan) et faire une œuvre c’est «matérialiser une pensée, un concept ou une émotion à travers un médium» (Abbas Kiarostami). Stéphane Brizé a donc bien matérialisé sa pensée via son film La Loi du Marché. Aussi ici, que puis-je faire d’autre que de m’y arrêter et de l’interroger ?