mars 05, 2016
Bibi

On quitte l’air pesant des grands journaux nationaux, on laisse de côté ces foutus articles de Médiacrates et d’Editocrates de la Capitale (et du Capital), on fuit tout ce grand et beau Monde et on croit trouver en Province un peu d’air frais, des pages à la lecture respirable et des articles de remise en forme. Las ! Les petits éditocrates y singent les grands et sont scotchés à la même enseigne libérale. Tous au service de la Pensée unique.
En ce dernier vendredi (4 mars), mettant les deux pieds en Auvergne, je suis allé, au hasard, respirer l’air de La Montagne.
février 25, 2016
Bibi


Avec le film de François Ruffin (Merci Patron), on reparle avec bonheur de Bernard Arnault, le Boss de LVMH, principal acheteur d’espace de pub des médias français. J’avais déjà épinglé ce grand Capitaine d’Industrie (du luxe) dans un billet de 2009. Je reprends ici ma charge sur le bonhomme qui visitait alors très tranquilou une exposition dont il était le mécène.
février 23, 2016
Bibi

On se rend à la bibliothèque municipale où l’on se vautre dans un profond fauteuil pour lire la presse, la Grande Presse. La quotidienne. Les hebdos. Les Mensuels. On retrouve les numéros du mois dernier, de l’année dernière parfois. On fait quelques relevés…
… et l’on s’aperçoit alors que, d’entrefilets en gros titres, la Machine de Propagande tourne à plein régime.
février 18, 2016
Bibi

A lire nos grands intellectuels médiatiques, «romanciers», journaleux de tous bords (aujourd’hui ce sera Jacques Julliard et ses six pages dans le dernier numéro de Marianne, ce sera Frédéric Mitterrand), on les imagine en héros des Temps Modernes. Forts d’une audace intellectuelle inouïe, ils sont toujours prêts à jeter leurs anathèmes à la face du Monde, à brocarder des adversaires qu’ils inventent, à s’autoriser en toutes choses. De grands Seigneurs? Voire.
février 16, 2016
Bibi

On pourrait à l’infini pérorer sur la psychologie de Serge Aurier, s’arrêter sur ses déconnades avec ses potes, rappeler les têtes de linotte de ces grands enfants gâtés, s’étendre sur l’absence de limites (ce mal qui serait celui des temps présents), sur la gonflette d’un bonhomme soudainement plein aux as.
On pourrait dessiner le profil psychologique du joueur de foot de haut niveau, pleurer sur les valeurs perdues et sur l’éthique bafouée du football d’aujourd’hui. On pourrait mais je ne le ferais pas.