mars 24, 2016
Bibi

Hier, j’ai parcouru et scruté les billets des blogueurs-routards de la Politique. Aujourd’hui, me voilà lancé sur les pistes des blogueurs littéraires. En ce jour du 24 mars, me voilà en âge canonique puisque je fête mes 8 années d’existence. Voilà donc le 1518ème bibillet.
Et ce n’est pas vraiment vraiment vraiment vraiment un hasard si ce présent bibillet vient vous rapporter de la prose, de la poésie, de la rage, de la mélancolie et de l’infinie tendresse.
mars 23, 2016
Bibi

Il vaut mieux parcourir les blogs que de se plonger dans les Canards-laquais, que d’être hypnotisé par les Télés à propagande continue, que d’écouter du Ruquier et du Eric Brunet à longueur de journée ou de semaine. La lecture des blogs de ma blogroll est toujours un plaisir. Aujourd’hui elle (se) portera sur mes blogs plus directement politiques et/ou sociétaux. Et pour attirer le chaland, je n’ai retenu qu’une seule phrase – longue, courte c’est selon.
mars 11, 2016
Bibi

Au coin lecture, j’ai puisé dans les cadeaux du Père Noël, j’ai ramassé un folio à deux balles, j’ai retrouvé les analyses de Bernard Lahire, j’ai passé un long moment avec Nijinski et ses cahiers de 1919, j’ai fait un peu de sport, j’ai regardé tous les soirs sous mon lit, persuadé avec Ignacio Ramonet que je vivais dans l’immense Empire de la surveillance.
mars 08, 2016
Bibi

Le jeu d’échecs. Notons la diversité d’attitudes pour le caractériser : art, sport, jeu éducatif, moyen d’expression de la personnalité, champ de réflexion scientifique etc.
C’est au sortir de l’adolescence que j’ai appris – non pas le jeu – mais le déplacement des pièces. Puis, effectuant plusieurs voyages en Hongrie socialiste, j’eus l’occasion de voir de nombreux joueurs et spectateurs autour d’un échiquier. Dans les bars, les salles spécialisées et autres lieux étonnants d’alors, (les bains de Budapest, le parc de Margrit Sziget ou encore les jardins de ce Château qui domine la capitale hongroise).
mars 05, 2016
Bibi

On quitte l’air pesant des grands journaux nationaux, on laisse de côté ces foutus articles de Médiacrates et d’Editocrates de la Capitale (et du Capital), on fuit tout ce grand et beau Monde et on croit trouver en Province un peu d’air frais, des pages à la lecture respirable et des articles de remise en forme. Las ! Les petits éditocrates y singent les grands et sont scotchés à la même enseigne libérale. Tous au service de la Pensée unique.
En ce dernier vendredi (4 mars), mettant les deux pieds en Auvergne, je suis allé, au hasard, respirer l’air de La Montagne.