Stop sur le… Top 10 des Spin Doctors français (via GQ).

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Certains de mes amis du Net craignent pour ma santé. A lire Management, le Figaro, Libération, Paris-Match, à pondre des bibillets après lecture des pires articles de Challenges ou des journaux de Province, je ne serais pas loin de l’HP. Qu’ils se rassurent : les psys prennent ma démarche du bon côté disant avec raison qu’il y a de la jouissance dans le masochisme et les Citoyens un peu allumés disent, eux, plus sérieusement encore, que j’ai raison d’étudier l’Adversaire (ici la Pensée Unique, les Oukases libéraux) pour pouvoir humblement et modestement le dézinguer.

Après lecture de Management (j’en suis sorti sain, heureux et sauf ! Merci les C.H.O. !), me voilà plongé cette fois-ci dans le Magazine GQ et son hit-parade des 10 hommes les plus influents des Médias et de la Politique française.

J’ai lu la revue MANAGEMENT de Septembre 2016 !

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Quelle magnifique expérience que la lecture de MANAGEMENT, revue des temps présents, mensuel de septembre 2016 où l’on puise d’excellentes informations sur les Nouveaux Dieux que sont les Capitaines d’Industrie, les Présidents de Club de Foot et tous les subalternes à leurs bottes. Ceux par exemple qu’on appelle les C.H.O., les Chief Happiness Officers.

MANAGEMENT, mais c’est que du B-O-N-H-E-U-R !

Aller à l’écriture (ou déambulation clermontoise).

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Elles font écrire, ils font écrire.

Ils font aussi lire les textes qui ont été écrits. Ils les font chanter même. Rien, ni personne a quelque chose à prouver. Tout est plutôt à… trouver. Ils sont attentifs à ceux qui passent, à celles qui font halte. Aventure extrême pour chacun des visiteurs : chacun prend son élan, s’engage sur son chemin d’écriture, arpente le sentier de ses mots, trace un trajet singulier sur une page, sur dix lignes ou trois mots.

Eux, (Elles/ ils) ont ce désir étrange de faire écrire les autres : Elles/ ils, ce sont les animatrices et animateurs d’ateliers d’écriture. Elles/ ils sont en place… Place de la Victoire, à Clermont-Ferrand, en ce samedi 8 octobre.

Le polar de Marie-Hélène Branciard : #Jenaipasportéplainte.

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Dans une autre vie, je lisais beaucoup de polars. Plutôt des Séries Noires, de celles que collectionnait mon père. Puis mes lectures ont pris fin (de série) par ce simple désir d’aller voir d’autres écritures.

Aujourd’hui, par le biais d’une abonnée Twitter, me voilà en lecture d’un polar français, le  dernier livre de Marie-Hélène Branciard #Jenaipasporteplainte (1). Pas sans importance ce titre en hashtag. Il vient dire en préambule la teneur et la tonalité du livre. Nous sommes immergés dans l’ère du Numérique, dans cette époque où les ordinateurs et autres smart-phones tournent à plein régime avec leurs codes d’entrée, leurs aficionados, leurs réseaux sociaux (Twitter, Facebook) visibles/ invisibles et leurs… dangers.

A propos d’une photo D’H.Clinton et d’un tweet de Raphaëlle Bacqué du Monde.

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J’aime bien répéter les commentaires et analyses de Georges Didi-Huberman à propos de l’image : «Il n’y a pas d’images qui, en soi, nous laisseraient muets, impuissants. Une image sur laquelle on ne peut rien dire, c’est en général une image qu’on n’a pas pris le temps — mais ce temps est long, il demande du courage, je le répète — de regarder attentivement. De se ré-inquiéter à chaque fois».  

C’était hier sur Twitter, j’y ai découvert cette photo d’Hillary Clinton avec ses supportrices, cliché accompagné d’un tweet et commentaire de Raphaëlle Bacqué, journaliste au Monde.