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Dominique Desseigne, l’ami sarkozyste (3).

Le meilleur de ses amis : Nicolas S.

DéDé est un des plus grands amis de confiance de Chouchou : il a accompagné notre Président en Tunisie, en Israël et au Maroc. A une époque, Chouchou venait très régulièrement dîner chez Monsieur DéDé à la Villa Montmorency, villa-bunker du Gotha des hautes personnalités (où Carla a encore un petit appartement, où le fils Arnault, le fils Bolloré etc…). Chouchou le lui rend bien d’ailleurs : pour notre Président, DéDé est «travailleur, fonceur, honnête, réfléchi».

La légende tente de nous en mettre plein la vue : «Du jour au lendemain, Dominique Desseigne s’est retrouvé à la tête du premier groupe de casinos et d’hôtels de luxe français». « Du jour au lendemain » ? Bouhhh… DéDé n’a  absolument pas été l’héritier du groupe Barrière par automatisme. Ce qui est, là, oublié, c’est le rôle de Chouchou dans cette ascension au Top-niveau. Il suffit d’écouter DéDé qui n’a cessé de clamer que «c’est grâce au Maire de Neuilly que je suis parvenu à prendre le groupe Barrière» pour s’en persuader.

Petit retour en arrière : Chouchou et DéDé se connaissaient du temps de Diane (qui était une amie d’enfance de Cécilia). Ils se retrouvèrent ensuite grâce à l’ami Bernard Laporte (ex-Casino de Saint-Julien en Genevois), ami à qui Chouchou voue une reconnaissance éternelle (Bernard au si beau phrasé consola notre Président du départ précipité de Cécilia). Nanard l’emmena alors au Fouquet’s qui appartient à notre DéDé, féru lui aussi de rugby et grand supporter du Stade Français. Le Fouquet’s, vous savez ? C’est ce joli établissement où se déroula une grande surprise-party le 6 mai 2007. Il se murmure cependant que le DéDé est beaucoup moins apprécié par Carlita… qui doit probablement préférer les hommes de moins de 1,91 m.

Les amis de DéDé ? En veux-tu ? En voilà !

Qui s’est empressé de voter les lois inhérentes à l’ouverture à la concurrence des jeux d’argent (Poker en tête) et des paris en ligne ? C’est Eric Woerth qui, en tant que ministre du Budget, en a été le principal architecte et promoteur avec l’appui d’Eric de Sérigny, de Sébastien Proto (ami d’Antoine Arnault, actionnaire de Betfair) et de Vincent Talvas (que Woerth rencontra au Cabinet Andersen)…

Notons qu’Eric de Sérigny, porteur d’eau d’Eric Woerth et bon pote à DéDé, a des parts dans l’entreprise colossale de Paul Desmarais. Il fait par exemple partie du conseil d’administration d’Imerys, une société minière détenue en partie par une filiale de Power Corporation. Depuis son divorce de Sophie Desmarais, Éric de Sérigny dit garder de bonnes relations avec son ex-épouse et sa famille. Tu parles, Eric ! Avec un tel trésor, faudrait être con pour se fâcher ! Ne nous étonnons pas par ailleurs qu’Eric Woerth , lui aussi porteur de si belles affaires, ait du mal à «être démissionné»!

Continuons : si vous tombez sur le génial Frédéric Lefebvre, peut-être vous racontera t-il le bon vieux temps où il faisait du lobbying chez Domaines Publics ? Cette belle maison avait pour plus gros client, tiens tiens, le groupe Desseigne-Barrière. Pourquoi s’étonner dès lors de retrouver Bernard Laporte comme Ministre des Sports et Frédéric Lefebvre, lobbysiste pour les Casinos Desseigne, porte-parole du Boss ?

Notons encore qu’Alain Krzentowski, numéro deux d’Amaury Organisation (Société du Tour de France, journal L’Equipe) est aussi un grand ami de DéDé. C’est d’ailleurs grâce à lui que David Douillet (conseiller de KZR) fit connaissance de DéDé et de Chouchou.

Ah, le bel esprit de camaraderie ! Comme l’écrivait un grand bloggeur, pour tenir son rang : « Des liens, bordel ! Des liens !« 

Dominique Desseigne : ses actifs et son lobbying (2).

Les Actifs de DéDé.

Dirigé par DéDé, le groupe Lucien Barrière est un des plus importants groupes français de casinos, d’hôtels-palaces, de complexes touristiques de luxe et de restauration. Il est propriété de la famille Barrière-Desseigne avec François André, Lucien Barrière, Diane Barrière-Desseigne comme fondateurs. Avec 33 casinos, 15 hôtels, 2 millions de clients et 31% de part de marché en France, Barrière est le premier groupe de casinos en France. Le Fouquet’s, le Majestic de Cannes où Canal Plus et France-Inter sont invités chaque année, le golf de Deauville etc, lui appartiennent.

Le Groupe Barrière est organisé autour d’un concept : le Resort, lieu de villégiature regroupant autour d’un casino, des hôtels de luxe, des restaurants, des équipements sportifs et de remise en forme qui accueille aussi bien une clientèle individuelle qu’une clientèle d’entreprises. On compte 13 hôtels (La Baule, Cannes, Deauville, Dinard, Enghien-les-Bains…) représentant 2000 chambres, 14 casinos en France (le Casino Barrière d’Enghien les  Bains, Casino de Lille et un casino à Montreux qui est le seul à détenir la licence A en Suisse Romande), 57 restaurants dont le célèbre Fouquet’s Paris et discothèques, 3 golfs, 1 centre de thalassothérapie et 2 Tennis Clubs. L’Hôtel Naoura de Marrakech, inauguré le premier jour par Valérie Hortefeux, c’est toujours DéDé.

DéDé compte pour ami financier Sébastien Bazin qui est un grand responsable de Colony Capital qui est un fonds d’investissement privé, spécialisé dans l’immobilier, qui a investi plus de 10 milliards de dollars depuis 1991, dont 4 milliards en Europe. Colony a la passion  des casinos depuis 1999 et il est un des seuls fonds à satisfaire aux réglements rigoureux américains nécessaires pour opérer des casinos.

Colony possède les complexes Resorts International à Atlantic City, Costa Smeralda en Sardaigne, l’hôtel Guanahani à Saint Barth, l’hôtel casino Hilton de Las Vegas, la chaine de restauration Buffalo Grill. Et Colony a colonisé le PSG, club préféré de Chouchou.

Le Lobbying du jeu.

Le lobby du jeu est devenu en France l’un des lobbys les plus puissants. Il a des ramifications au cœur du pouvoir et personne ne semble s’en inquiéter. Lorsqu’il était ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy n’a pas hésité à favoriser l’industrie du jeu dans les règlementations.

Chouchou a en effet favorisé ses deux groupes favoris (Desseigne et Partouche) vis à vis de la concurrence. Il a par exemple torpillé l’installation du Casino de Gujan Mestras, dont l’appel d’offre régulier avait été perdu par les groupes Barrière et Partouche. Le petit casino du bassin d’Arcachon perdra devant les décisions de la CSJ (la Commission Supérieure des Jeux) qui dépend de… la place Beauvau.

Dans cette affaire, le rapporteur de la plainte fut l’ancien bras droit de Charles Pasqua… Claude Guéant, alors collaborateur de Chouchou à l’Intérieur. Chouchou partage ses amitiés : le Casino d’Arcachon (Partouche) est tenu par l’ami Enrico Macias et le Casino de Bordeaux (Barrière) par DéDé.

D’ailleurs, dès son élection, Nicolas Sarkozy va signer  son premier décret d’importance : il concernera l’autorisation pour les les casinos de ses amis DéDé et Partouche de multiplier les machines à sous (A suivre).

Sur Dominique Desseigne:

Dominique Desseigne, Milliardaire de Droite (1).

Lorsque BiBi tente d’analyser la France d’En-Haut, il la considère toujours comme un iceberg. Il se rend compte alors que plus les choses visibles prennent de l’importance et plus il y en a de caché.

En se penchant sur Dominique Desseigne («DéDé»), ce qui se dégage surtout, ce sont :

1. Les liens de solidarité de classe. Les recherches de BiBi qui ont démarré sur DéDé vont inéluctablement, inévitablement croiser les Sarkozy, Woerth, Eric de Sérigny, les Desmarais, le SportFive de Lagardère, la Maison Bouygues, Albert Frère etc…

2. La présentation du parcours de DéDé, ses relations de confiance et de reconnaissance s’appuient sur une légende abondamment nourrie par les magazines Challenges, Paris-Match, les sites Pure People, les interviews à des journaux à haute teneur économique etc. Exemple de ces fictions : «Qu’est-ce qui fait courir le veuf de l’héritière des casinos Barrière ? Les femmes et l’argent, disent les uns. L’amour de ses enfants, dont il fait prospérer l’héritage, disent les autres. Lui se fiche des on-dit, il gère».

DéDé, un « grand petit garçon ».

La légende Dominique Desseigne-Barrière est toujours rapportée via un parfum mortifère (ça fait vendre plus les journaux que son livre – «Tout pour être heureux» chez Plon que l’on trouve à 0,90 euro chez Price Minister) :

1. Lucien Barrière : en 1991, il décède d’un arrêt cardiaque au cours d’un test d’endurance à l’effort.

2. Diane Barrière est sa fille adoptive. Son premier mariage, avec Thierry Gaubert, ex-conseiller de Nicolas Sarkozy au ministère du Budget, a tourné court. En 1980 chez Régine, Diane rencontre le beau «Prince Consort», notre Dédé surnommé moins flatteusement «le grand petit garçon» (il fait 1.91m) ou «le bel adolescent prolongé» (dixit l’ami Philippe Bouvard)

Diane, sa femme est décédée en 2001 après avoir été tétraplégique suite à un accident d’avion survenu le 16 juillet 1995. «Cela, rapporte DéDé, m’a fait voir les vraies choses. Je suis devenu à la fois plus fort et plus fragile».

Voyons voir de plus près ces «choses vraies». Peut-être les trouve t-on dans cette belle phrase assénée : «Ma responsabilité, c’est de protéger les actifs de ma famille». Dans ce monde-là, remarquons que «Actifs de la famille» et «famille», c’est exactement la même chose.

La famille.

Avec Joy et Alexandre (ses deux enfants avec Diane), il forme un trio très uni : «Pour eux, j’ai été la maman et le papa», explique-t-il. Aujourd’hui Joy a 19 ans, Alexandre, 22 ans. Tous deux ont obtenu mention «bien» au bac. Elle est en préparation HEC à Franklin. Lui, après deux ans aux Etats-Unis, a réussi à un master (ne demandez pas à BiBi lequel).

Ils se disent complices et complémentaires. Il n’a pas le permis de conduire. Joy, elle, préfère souvent le métro au chauffeur. Le métro ? Noooon, sans blague ? Alex est – parait-il – le roi de l’Internet. Il pourra toujours venir saluer BiBi sur son blog et y déposer un com’.

Hélas, nous dit son papa, Alexandre est réservé, mesuré, et couche-tôt. Joy, elle, est le portrait craché de Diane. «Elle me bluffe, nous dit son papa, je retrouve ma femme (..) Elle a la même soif de vie, la même énergie. Capable de bosser comme une brute pendant la semaine, et le samedi, son jour de sortie, de rentrer à 6 heures du matin, après avoir fait la fête au Baron, aux Planches ou chez Régine». Heureuse progéniture !

Playboy vieillissant.

Playboy vieillissant (il a 66 ans), un peu flétri, Monsieur n’aime pas boire, n’aime pas fumer. Par contre, il aime la drague et les femmes. Attention ! Pas n’importe lesquelles. :«Il a eu des amours flatteuses, pas précisément des caissières de supermarché» clame odieusement un de ses amis.

Avant sa rencontre avec Diane en 1980, il avait déjà conquis une fille de la famille Darty et surtout – sans suite – Corinne Bouygues, réfugiée aujourd’hui en Helvétie avec son mari, le cinéaste Sergio Gobbi.

En 2002, DéDé se fiance un temps avec la richissime et médiatique milliardaire Libanaise Mouna Ayoub (une in-cro-ya-ble fortune !)  DéDé viendra souvent avec elle à Deauville au bal de l’Association Care animé de façon très «humanitaire» par Michel Drucker et Arielle de Rothschild. Adieu Mouna et Bonjour Sophie Desmarais avec qui il partagera sa vie de 2006 à 2010. Cette starlette est la fille du Québécois Paul Desmarais, l’ami de Chouchou. Sophie est la fille d’une des plus grosses fortunes mondiales et l’ex-épouse de l’acteur Christophe Lambert. Qui dit mieux ?

Entretemps, DéDé a connu Rachida Dati avec qui il voyagera – heureux hasard – dans le même avion en partance pour les îles (d’Arros ?) En 2009, l’infatigable Dédé partage sa vie avec Elisabeth Bouteiller, issue de la noblesse bordelaise, qui a abandonné France 2 («Envoyé Spécial») pour…  « Stars et Fortune » sur M6 ! Elisabeth a beaucoup de chances car Dédé doit probablement lui donner beaucoup de tuyaux et de conseils pour étayer son émission. (A suivre).

Billets à venir :

Flèches de BiBi : spécial JDD (5 septembre).

Incroyable.

Alors que mardi se profile une des plus imposantes manifestations depuis celles de 1995, le Journal du Frère Lagardère consacre 6 pages à Johnny Halliday. «J’ai à l’idée que le Chanteur a jauni» avait écrit BiBi sur Twitter. Il semble que l’ami Johnny ait retrouvé d’autres couleurs. L’interview menée par Daniel Rondeau ne se déroule pas à Gstaad (Suisse) mais aux Antilles françaises. Ce qui permet à Johnny de dire : «Mon pays, c’est la France». Pas de cette France où on paye ses impôts.

Pour le JDD : c’est donc Tous pour Un (Johnny).

Pour le BiBi de mardi : c’est Tous contre Un (Chouchou).

Tous pour Un (2).

C’est sur une page entière, c’est une photo noir et blanc. Le jeune homme n’a pas encore le visage creusé par les épreuves de la Vie; c’est un type bien propre sur lui, bras tranquillement croisés, chemise blanche et regard amusé. Quatre lignes qui disent tout sur lui : 79589 infos à chaud/ 1884 décryptages / 3 heures de direct / 1 Fogiel.

C’est une pub pour Marc-Olivier Fogiel, pleine page d’Europe 1. Ce gendre idéal a le même boss que le  JDD : Frère Lagardère.

Tous pour Lui.

Alain Minc est un poltron et il le dit.

Le JDD ouvre ses colonnes «Lire» à Alain Minc. Le journal ne dit pas s’il a poursuivi ses mauvaises habitudes de plagiat. Cette fois-ci, le Valet de Chouchou bavasse sur les Intellectuels. Au centre de son Opération publicitaire, le voilà se dévalorisant lui-même comme argument de promotion. Pour être un vrai, un grand intellectuel, «le courage me manque…» pleurniche t-il.

Il enfonce ensuite des portes ouvertes pour mieux les cadenasser ailleurs. «Un grand politique est un grand manipulateur. Un grand patron aussi. (…) Toute personne qui prétend manipuler un manipulateur s’expose à de graves désillusions». Alain Minc, lui, a compris : lèche-bottes des Manipulateurs, y a pas mieux.

Michel Pébereau, un extra-terrestre ?

Tout à côté, page 33, le richissime Col blanc nous ramène sa science et ses fictions, en voulant nous faire partager sa passion pour la science-fiction. Ce Monsieur qui encaisse des subprimes innommables voudrait se faire passer à la fois comme un extra-terrestre et un terrestre extra.

La perle du très romantique Jean-Louis Borloo.

«Nicolas Sarkozy n’est pas conventionnel, pas formaté par un système antérieur, c’est un voyageur». Un voyageur pour qui tous les chemins mènent au Rom.

Claude Askolovitch et ses gants blancs.

«Il ne s’agit pas de pourfendre tel ou tel, Woerth, Besson, Hortefeux, tant chaque ministre joue son rôle dans cette tragi-comédie du Pouvoir assiégé». Jolie phrase pour dédouaner ce beau Monde : c’est vrai, Brice et les deux Éric sont des marionnettes complètement dépassées par ce qui (leur) arrive. Et donc, oui, à quoi bon les pourfendre ?

La conclusion vient alors, cerise sur le gâteau : il faut «regretter le temps où Nicolas Sarkozy était populiste au plein sens de ce beau mot républicain». De ce temps où Claude Askolovitch glorifiait Sarkozy en… «Maitre du Monde».

Salut à Richard.

Richard Bohringer émerge de tout ce fatras dégoûtant avec cette petite phrase qui touche : «Il y a des blessures qui ne s’ouvrent qu’à la nuit, écrit-il, à l’heure où les rires se taisent, où l’âme a froid et fait trembler le corps». C’était la Flèche de cœur-BiBi.

Les 39 vrais faux mensonges d’Eric Woerth.

1. C’est un mensonge : je ne m’appelle pas Eric Woerth.

2. Je n’ai jamais dit que je ne connaissais pas Monsieur de Maistre.

3. Je n’ai jamais rencontré le Président de l’Association des Courses de Compiègne.

4. C’est Florence qui s’occupe des courses (de chevaux).

5. Sur l’argent des Bettencourt, Florence n’est pas au parfum car là, comme ailleurs, l’argent n’a pas d’odeur.

6. J’ai annulé la réunion du Premier Cercle du 28 juin.

7. Nous avons renforcé notre arsenal de lutte contre l’évasion fiscale. Aujourd’hui nous allons plus loin.

8. L’objectif est que 100% des résidents Français qui détiennent un compte non déclaré à l’étranger le déclare.

9. Tous les hommes et les femmes politiques sont soumis à beaucoup de questions de la part des citoyens, c’est bien naturel. A nous de relever le gant et de répondre aux questions des Français.

10. De ma vie, je n’ai rencontré ce Monsieur Nicolas Sarkozy.

11. Je suis un mari honnête, pas une marionnette.

12. Albert Frère est mon frère.

13. Je n’ai jamais rencontré mon frère Albert Frère.

14. La France a un problème avec l’argent.

15. Je connais infiniment plus de gens modestes que de gens riches.

16. Les gens modestes viennent tous les deux mois faire des dons à l’UMP à l’Hôtel Bristol.

17. Nous avons tous saisi un jour un ministre pour la Légion d’Honneur en oubliant aussitôt qu’on l’avait fait.

18. Trésorier de l’UMP et Ministre du Travail… ce cumul ne me gêne pas.

19. Florence est allée se reposer. Après l’Affaire de France Galop, elle a eu une fièvre de cheval.

20. Florence se remettra en selle.

21. Florence n’aime plus son bibi.

22. Florence n’a jamais aimé BiBi.

23. Merci à Carla Bruni d’avoir pensé à m’écrire une chanson.

24. Ma femme est honnête.

25. Je suis honnête.

26. Je suis fidèle.

27. Ma femme est fidèle… à Genève.

28. Les gens me voient vivre à Chantilly depuis 25 ans. On ne peut pas tricher avec eux.

29. Je suis prêt à 120%.

30. Je suis près de 1,2%.

31. Claude Guéant, Raymond Soubie ne m’ont rien raconté de leur virée au Cap Nègre.

32. Je fréquente les gens modestes et je connais le salaire de Louvrier.

33. J’ai 54 ans et je suis lessivé, carbonisé. Je prends ma retraite demain.

34. Florence et Madame Bettencourt s’entendent très bien : Liliane est sourde et ma femme a décidé de rester muette.

35. Qu’est-ce que fout Anne Méaux ? Je la paye assez cher.

36. Je connais le football et je réclame dès aujourd’hui la démission du Ministre Laurent Blanc.

37. J’aime jouer avec l’équipe des vétérans de Chantilly.

38. Je vais contacter L’Oréal pour mettre de la pub sur nos maillots.

39. Je vais écrire une lettre de démission à Nicolas Sarkozy mais je demanderai l’enveloppe à Liliane Bettencourt.

[Sont des paroles vraies : 2-3-6-7-8-9-14-15-17-18-24-25-28-29-37]