Pierre et Nicolas Sarkozy : la tradition bling-bling.

Chez les Sarkozy, le Bling-Bling  est une tradition de père en fils. BiBi ne reviendra pas sur le Fouquet’s, le Yacht Bolloré, les fastes du mariage de son petit frère Jean-Jean avec la fille Darty (Jessica Sebaoun). Par contre, découvrant Pierre Sarkozy via sa chiasse ukrainienne, BiBi s’est penché sur le fils aîné de Nicolas qui parcourt le Monde (le Monde des Riches s’entend) en toute élégance aristocratique avec borsalino et baskets. Arghhh !

Un artiste dans la Famille.

Pierre Sarkozy ne fera pas de politique comme son frère Jean («Chacun sa vie»). Sa vie ? La musique, té, pardi… comme belle-maman ! C’est à 14 ans que le Fiston à Pistons découvre sa vocation, créant sa propre Maison La Crème Chantilly (aidé par Woerth?). Il fait ensuite la formidable musique d’un film d’Eric et Ramzy puis un jingle pour une pub France Telecom (avant les suicides ?). Enfin, il démarre une carrière conjointe de DJ et de producteur éblouissant – celui du rebelle Doc Gynéco et du chanteur libano-hollandais, diplômé de l’ESSEC, Lazlo Jones.

Acte 1 : l’île aux (Gros) Cochons.

La première fois que BiBi entendit parler du Sarko Boy, ce fut lorsqu’il échappa de peu à la mort au Brésil, dans les coulées de boue qui avaient touché le pays (Janvier 2010). Tout ceci se passa dans une demeure magnifique à 160 km au Sud-ouest de Rio de Janeiro (Brésil). Cette villa, inaccessible au public, se situe dans l’île privée des Gros Cochons (ça ne s’invente pas) et appartient au Chirurgien plasticien Ivo Pitanguy, celui-là même qui a pour cliente, une certaine… Carla Bruni Sarkozy (bottoxée). Détail dont BiBi n’aurait que faire sauf à rappeler que ce richissime médecin reçoit aussi un autre prestigieux client : Tom Cruise en personne, acteur et adepte forcené de l’Eglise de Ron Hubbard. Pour ceux qui ne savent pas les liens entre le héros de «Mission tout est possible» et la tribu Sarkozy, lire ici le billet-BiBi. On ne dit pas comment et sur quels deniers publics, là aussi, Pierre fut rapatrié.

Acte 2 : la Fête à Sao Paulo et Florianopolis.

Ah, le Brésil ! Ses femmes ! Ses couleurs ! Sa Bossa ! Après le Mynt Lounge de Sao Paulo, c’est à Florianopolis (Etat de Santa Catarina), au Double Seven et au Confraria Club, que BiBi retrouva le DJ Pierre (Mosey pour les amateurs de Rap). Cette soirée de juillet 2011 marquait l’anniversaire de l’ami Wilfredo Gomès, ex-boxeur, publicitaire, propriétaire du Confraria Club et de l’agence One WG. Une sacrée soirée où Pierre s’acoquina avec Bar Refaeli, l’ex de Di Caprio. Entouré de Cristiana Arcangeli et Alvaro Garnero (homme d’affaires brésilien), invité à dire quelle était la différence entre une nuit parisienne et une brésilienne à Caras OnLine, le rebelle du Rap répondit : «As garotas» (Les femmes). Classe, le Sarkozito, non ?

Acte 3 : les murmures de Berlin.

Pierre est, ce jour-là, bien placé au défilé de la créatrice Elisabeth Schawaiger. Il vient soutenir la collection de Philipp Plein. Il rencontre et papote avec les amis d’Angela Merkel, il salue le top model Franziska Knuppe et la femme de l’ex-Ministre allemand des Affaires étrangères Minu Barati (productrice de cinéma).

Acte 4 : la chiasse ukrainienne.

Le producteur de Doc Gynéco est un grand voyageur et un hyper-actif (de qui tenir, hein ?). Invité de clubs où il mixe (Allemagne, Autriche, Italie,  Russie, Ukraine, France – VIP Room, La Villa), Sarkozito va finir par devenir un des DJ les plus chers du marché. Le mois dernier, il était en Ukraine, à Odessa, dans un club privé le Tchaikovsky.

C’est le site ukrainien dumkaya.net qui révéla l’affaire : Pierre Sarkozy arrivait de Prague, «dans un trip à faire pâlir d’envie le très riche David Guetta», il fila dans un restaurant de la ville et – hélas – fut victime d’une intox alimentaire carabinée. Pauvre Pierre ! Allez ! Hop ! Direction clinique d’Odessa et branle-bas de combat à l’Elysée : Papa inquiet met à disposition Mercedès blanche et Falcon 50 de l’Etec-RAFJ (unité des forces aériennes qui transporte Président et ministres). Vite, vite à Villacoublay ! Aussitôt dit, aussitôt fait ! C’est emballé, pesé : le tout pour 40.000 euros ! (Lire ici le récit émouvant). Scandale : on ne dit pas non plus qui paya les soins et les médocs contre la chiasse.

Dernier acte ?

Reparti à Florianopolis où il doit honorer un contrat le 19 février prochain au Contraria Bar, le DJ Pierre bénéficiera – toujours sur les deniers publics – d’une protection rapprochée supplémentaire (Source : le Canard Enchaîné). Le Ministère des Affaires étrangères français aurait demandé une protection rapprochée ++ aux autorités brésiliennes. Il paraîtrait que deux membres du Groupement de sécurité de la République Française ne sont pas suffisants pour assurer la Sécurité de l’Artiste.

Les amis, la Famille.

Les amis (Julien Clerc, Enrico Macias, Marc Lavoine) sont impatients de le retrouver. Ils l’attendent bien entendu en tribune présidentielle du PSG. Quant à la famille, elle est – dit le Sarkozito – plus importante que tout. «Une valeur fondamentale». D’ailleurs, rajoute le Fiston-à-Pistons, «Nous faisons tout ce qu’une famille fait habituellement. Nous le faisons unis. Par exemple, je joue au tennis et au foot comme mon père».

En conclusion, comment ne pas pousser ce cri du coeur ? «Oh ! Pierre ! Dépêche-toi, mon petit Pierre ! Reviens ! Oui, reviens-nous ! C’est que tu vas devoir aider ton Papa à faire bientôt ses valises».

2 Responses to Pierre et Nicolas Sarkozy : la tradition bling-bling.

  1. Tony dit :

    Tu vas rire, mais ils ont eu peur d’un empoisonnement au Polonium. C’est juste pour ça qu’ils l’ont ramené en urgence.

  2. iban dit :

    à part pour guetta,il n’est pas une cible

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